Le doyen éternel     Pierre GRIMBERT

sorti en 1999
459 pages
Genre : fantasy

4ème et dernier volume de la série Le secret de Ji

4ème de couverture
Bouleversés par leurs découvertes, les héritiers se lancent sur la piste des derniers secrets de leurs ancêtres...
Mais les mystères les plus profonds sont toujours gardées par les âmes les plus noires. La vérité mérite-t-elle qu'ils affrontent les Gweloms de Karu ?
Face à de nouveaux choix déchirants, le temps de la séparation est venu. Combien de prophéties se réaliseront-elles ? Qui est l'Adversaire ? Est-ce la fin des héritiers ? Chacun se prépare à l'ère nouvelle qui s'annonce, sous le regard impuissant du doyen éternel...

Extraits (1ère et dernière phrase du roman)
J'ai eu tellement de noms, en deux siècles d'existence, qu'il m'est déjà difficile de me les rappeler tous.

Deux générations plus tard, Amanon Derkel, Eryne de Kercyan, Cael d'Eza, Niss du clan de l'Oiseau et quelques autres partaient en quête de leurs ancêtres. Parmi eux était l'Adversaire.

Mes impressions
Ce que j'ai aimé dans ce dernier volume de la série ? La révélation des derniers secrets, la découverte du berceau des dieux et l'origine de leur création, la douloureuse séparation du groupe, les chemins qui s'éloignent pour converger à nouveau, la compréhension toujours plus poussée des ennemis... et le point final qui n'est que le début.
Vraiment, il faut que je me procure la suite !

L'ombre des anciens                                                  Sommaire

L'ombre des anciens     Pierre GRIMBERT

sorti en 1999
352 pages
Genre : fantasy

3ème volume de la série Le secret de Ji

4ème de couverture
Combien de temps Corenn, Grigan, Rey, Bowbaq et les enfants sauront-ils échapper aux exécuteurs ?
De la tour Profonde de Romine au Grand Temple ithare, des monts Brumeux au val Guerrier, les héritiers poursuivent la quête désespérée dont l'issue fixera le sort des Hauts-Royaumes.
Peuvent-ils profaner impunément le plus protégé des secrets des dieux ?
Chacune de leurs découvertes sera un pas de plus sur le chemin de la damnation...

Extraits (1ère et dernière phrase du roman)
Un Zü n'avoue son nom qu'à ses semblables... et aux gens qu'il s'apprête à tuer.

- Bienvenue, déclara Nol en leur tendant la main à travers la porte. Bienvenue chez vous.

Mes impressions
Comme souvent dans les sagas fantastiques, l'intensité du récit monte au fil des volumes, avec les secrets dévoilés peu à peu et la meilleure compréhension des personnages et de l'univers dans lequel ils évoluent.
Ce que j'ai aimé dans ce tome ? La connaissance de l'avenir qui s'avère un lourd fardeau, Yan qui devient de plus en plus important alors que techniquement il ne fait pas partie des héritiers, la découverte de ce qui se trouve derrière la porte et ses conséquences, l'aperçu de l'adversaire des héros, ses pensées et ses actions, les questions encore sans réponse.

Le serment orphelin                         Sommaire                         Le doyen éternel

Le serment orphelin     Pierre GRIMBERT

sorti en 1999
355 pages
Genre : fantasy

2ème volume de la série Le secret de Ji

4ème de couverture
Les héritiers sont plus que jamais en danger. Leur ennemi inconnu a lancé sur eux tous les tueurs Züu des Hauts-Royaumes. Combien de temps Corenn, Grigan, Rey, Bowbaq et les enfants échapperont-ils aux exécuteurs ?
Il leur faut à tout prix percer le secret de Ji, dont ils commencent seulement à saisir l'importance... et qui les mène peut-être à un péril plus grand encore.
Et voilà qu'une ombre mortelle se réveille...

Extraits (1ère et dernière phrase du roman)
Louée soit Eurydis.

Mais il y avait encore tellement, tellement de choses à raconter...

Mes impressions
Une suite aussi agréable et prenante que le 1er volume de la série, avec les événements qui s'enchaînent et quelques secrets effleurés.
Ce que j'ai aimé ? La révélation des pouvoirs de Yan, l'évolution des personnages et les liens qui se resserrent, la confrontation avec les tueurs, le voile du mystère qui se soulève légèrement et le lourd prix à payer en échange.
Où est la suite ?

Six héritiers                              Sommaire                              L'ombre des anciens

Six héritiers     Pierre GRIMBERT

sorti en 1999
400 pages
Genre : fantasy

1er volume de la série Le secret de Ji

4ème de couverture
Il y a plus d'un siècle, un homme étrange, Nol, visita tous les rois du monde connu. Personne ne sut jamais pourquoi mais il emmena avec lui les Sages désignés par les monarques pour un voyage mystérieux vers l'île de Ji. Ce qu'ils firent et qu'ils virent là-bas, sur cette île déserte et désolée, nul ne le sait. Les survivants emportèrent leur secret dans la tombe...
Pourtant, aujourd'hui, le passé rattrape les descendants des Sages, assassinés l'un après l'autre. Ceux qui échappent au massacre se mettent en route pour Ji. Car là-bas se trouve la réponse...

Extraits (1ère et dernière phrase du roman)
Mon nom est Léti.

- Yan, il faudra que nous ayons une grande discussion, tous les deux, dit-elle simplement. Tu devrais trouver cela intéressant.

Mes impressions
Le secret de Ji, composé de 4 volumes, est la première des 3 parties de la série du Cycle de Ji, la seule que j'ai lue à ce jour, même si je ne désespère pas de me procurer la suite.
Ce que j'ai aimé ? L'univers fantastique, les différents personnages qui se croisent, la découverte d'un monde imaginaire avec son histoire, ses religions, ses traditions, le secret à découvrir, les questions qui restent sans réponse à ce stade de l'histoire.
Un plus appréciable, la petite encyclopédie d'une trentaine de pages en fin de volume, qui définit certains termes utilisés dans le récit et raconte un peu l'histoire et les légendes de cet univers, le rendant plus « réel » à nos yeux.
Comment un récit de fantasy pourrait-il ne pas me plaire ?

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Dans la main de Bouddha     CHOW Ching Lie

sortie en 2001
282 pages
Genre : autobiographie

4ème de couverture
L'auteur mondialement connu du Palanquin des larmes poursuit son récit là où elle l'avait interrompu. Exilée à Paris à la mort de son mari, mi-femme d'affaires, mi-pianiste, mère de deux enfants puis grand-mère, Chow Ching Lie (ou Julie) mêle à son amour pour la Chine et pour les siens la sagesse bouddhiste. Tour à tour, son récit démêle les anneaux de l'Histoire, fulmine sous l'horreur des sévices et des persécutions infligées à son peuple, et nous enserre dans l'intimité d'une vie familiale précieuse. Tout oreilles et cœur battant pour les autres, libre et entreprenante,  Chow Ching Lie est tantôt exécrée en Chine, traitée en « traître capitaliste et ennemie du peuple », tantôt honorée pour ses talents de pianiste. Mais, en France ou ailleurs, elle n'oublie jamais que c'est dans la main de Bouddha qu'elle est née.

Extraits (1ère et dernière phrase du roman)
« Sale capitaliste, traître, espionne. »

Il semble bien que, pour l'instant, Bouddha ait décidé de me rendre à la musique...

Mes impressions
Suite et fin de la vie de Chow Ching Lie avec un volume, j'ai envie d'écrire, plus serein et plus apaisé malgré les événements parfois dramatiques qu'elle nous narre, comme si nous lecteurs, on pouvait sentir l'influence positive de la main de Bouddha...
Ce que j'ai aimé ? Les légendes de la Chine qui modèlent l'existence, les histoires et les destins qui se croisent entrecoupés de l'influence de l'Histoire, toujours le courage et les ressources de l'auteur, sa vision unique.

Le Concerto du fleuve Jaune                                                  Sommaire

Le Petit Prince     Antoine de SAINT-EXUPÉRY

sortie en 1943
95 pages
Genre : conte philosophique

4ème de couverture
Le premier soir je me suis donc endormi sur le sable à mille milles de toute terre habitée. J'étais bien plus isolé qu'un naufragé sur un radeau au milieu de l'océan. Alors vous imaginez ma surprise, au lever du jour, quand une drôle de petite voix m'a réveillé. Elle disait :
- S'il vous plaît... dessine-moi un mouton !
- Hein !
- Dessine-moi un mouton...
J'ai sauté sur mes pieds comme si j'avais été frappé par la foudre. J'ai bien frotté mes yeux. J'ai bien regardé. Et j'ai vu un tout petit bonhomme tout à fait extraordinaire qui me considérait gravement.

Extraits (1ère et dernière phrase du roman)
Lorsque j'avais six ans j'ai vu, une fois, une magnifique image, dans un livre sur la Forêt Vierge qui s'appelait « Histoires Vécues ».

Ne me laissez pas tellement triste : écrivez-moi vite qu'il est revenu...

Mes impressions
Une histoire que j'ai découverte vers l'âge de 10 ans, lors d'un spectacle avec l'école. Je me souviens avoir été surprise, émue par les aventures et surtout les rencontres de ce petit bonhomme. J'ai alors lu le livre, admiré les illustrations de l'auteur, tellement en accord avec le texte, aussi épurées et émouvantes.
Ce que j'ai tout particulièrement aimé ? Les notions essentielles qui se dissimulent derrière un texte en apparence destinée aux enfants, la rencontre avec le renard qui m'a bouleversée par ce qu'elle dégage, les émotions et les larmes - les miennes - la poésie et la douceur du texte comme des images... Un chef d'œuvre incomparable !

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Le Concerto du fleuve Jaune   CHOW Ching Lie

sortie en 1979
269 pages
Genre : autobiographie

4ème de couverture
En décembre 1973, au théâtre des Champs-Élysées, le Concerto du fleuve Jaune de Shi Shin Haï était joué pour la première fois en Europe avec, en soliste, une jeune chinoise au talent éclatant, Chow Ching Lie, premier prix de piano de l'académie Marguerite Long.
Chow Ching Lie a été révélée au grand public par son premier livre, Le Palanquin des larmes, publié en 1975. L'auteur racontait son enfance et ses années de première jeunesse à Shanghai, dans une Chine encore médiévale : à treize ans, elle a été vendue par ses parents et mariée en grande pompe à un des hommes les plus riches de sa province, qui devait la laisser veuve en pleine tourmente - toute la famille s'étant réfugiée à Hong Kong. Comment élèvera-t-elle, seule, ses deux enfants qu'elle adore ?...
Dans Le Concerto du fleuve Jaune, Chow Ching Lie reprend le fil de son récit. À ving-huit ans, elle débarque à Paris sans connaître personne et sans savoir un mot de français. En moins de quinze ans, elle y fera fortune. C'est le triomphe du courage et du talent.
À travers ses confidences, qui constituent un autoportrait haut en couleur où le pittoresque et le pathétique se rencontrent à chaque instant, c'est la Chine millénaire, avec ses légendes et sa sagesse, et la Chine d'aujourd'hui, dix fois redécouverte avec attention et amour, qu'elle nous fait connaître. Le regard qu'elle porte sur sa patrie en mutation est honnête et sans prévention. Car Chow Ching Lie n'est pas une historienne et ne fait pas de politique : c'est un témoin privilégié, toujours sincère, parfois naïf, qui parle de ce qu'elle a vu. C'est aussi une femme, une mère, une artiste, chez qui l'intelligence et le talent n'étouffent jamais la sensibilité.

Extraits (1ère et dernière phrase du roman)
Le nombre 13 a-t-il, comme certains le prétendent, une valeur magique ?

Toute ma vie semble lui donner raison, et - ce sera ici ma conclusion - en dépit de toutes les difficultés et de toutes les épreuves que j'ai connues et qu'il m'a fallu braver, je ne suis pas fatiguée, et je me tourne avec confiance vers l'inimaginable avenir.

Mes impressions
Curieusement, j'ai découvert la suite du Palanquin des larmes bien après ma lecture du 1er volume, j'ignorais même qu'elle existait. Mais c'est avec plaisir que j'ai retrouvé l'auteur, son entourage et sa vision unique de la Chine.
Ce que j'ai aimé ? Découvrir la suite de la vie de l'auteur, ses ressources, sa vision de la France, toujours son courage.

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Le palanquin des larmes                                             Dans la main de Bouddha

Le palanquin des larmes     CHOW Ching Lie

sortie en 1975
382 pages
Genre : autobiographie

4ème de couverture
Mariée de force lors de l'avènement de la Chine nouvelle, la jeune écolière Chow Ching Lie, choisie pour sa beauté exceptionnelle par la plus riche famille de Shanghai, monte à treize ans sur le palanquin fleuri qui la conduira dans sa belle-famille : pour elle, ce sera le palanquin des larmes.
Écrasée sous la tutelle d'une belle-mère tyrannique, Chow Ching Lie arrivera quand même à devenir une pianiste internationale.
En même temps que son drame personnel, elle nous fait vivre à travers ses yeux d'enfant, ses larmes de jeune mariée et ses joies de mère, les bouleversements d'une Chine ancestrale face à la révolution de Mao Tsé Toung.

Extraits (1ère et dernière phrase du roman)
Je suis née dans la Chine de la misère et des larmes.

Je n'ai plus de larmes.

Mes impressions
Découvert à la fin de l'adolescence, ce roman m'a émue et enseigné que la vie n'est vraiment pas la même d'un bout à l'autre de la planète. Je le savais déjà, mais ce récit avait quelque chose de concret, ce que n'a jamais eu aucun de mes cours.
Ce que j'ai aimé ? L'immersion totale dans une culture et une époque aux antipodes de ce que je connaissais, le courage de Chow Ching Lie, la manière dont l'Histoire se mêle à son histoire...

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Pourquoi faire simple ?     Johanna H. AURELA

sorti en 2013
334 pages
Genre : roman sentimental

4ème de couverture
La vie pourrait être simple, et tout serait réglé comme du papier à musique. Mais pour Béa elle est un véritable sac de nœuds.
Déboussolée par sa rupture, elle va de bourdes en catastrophes à la recherche de qui elle est vraiment.

Extraits (1ère et dernière phrase du roman)
Et voilà, j'entends le grondement de sa Volvo qui démarre.

Nous ne remarquons pas les sages-femmes qui quittent la pièce quelques minutes, nous n'avons d'yeux que pour notre petite merveille, notre princesse Anastasia, 3,430 kilos, 50 centimètres, notre cadeau de Noël. Le plus beau de tous.

Mes impressions
Mon cadeau de Noël 2013, commencé dans l'après-midi et terminé avant la fin de cette journée...
Ce que j'ai aimé ? L'impression de vécu qui se dégage des pages, les amis qui sont plus que la famille, les erreurs de parcours, le côté « tout est bien qui finit bien » comme dans les contes de fées - mon côté midinette qui ressort - ce sentiment d'envie qui pointe chez moi...
Petit bémol, les (trop nombreuses) fautes d'orthographe qui parsèment les chapitres. J'ai souvent tiqué au début, et puis on finit par y faire moins attention au fur et à mesure qu'on se laisse embarquer par l'histoire, heureusement ! Mais sincèrement c'est dommage, ça gâche un peu la bonne impression générale de ce roman.

page facebook du roman  Pourquoi faire simple ?

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Le Monde de Narnia     C. S. LEWIS
     The Chronicles of Narnia

sorti entre 1950 et 1956
869 pages
Genre : fantasy

4ème de couverture
Retrouvez, réunis en un seul ouvrage, les sept volumes du Monde de Narnia. Guidés par le Lion Aslan, découvrez dans son intégralité la saga fantastique du grand romancier C. S. Lewis.

À l'origine de tout chef-d'œuvre de la fantasy, il y a un moment magique, le moment de la traversée. La traversée de l'Armoire par la petite Lucy en 1950 est l'un des moments emblématiques de ce puissant genre de la fantasy dont Le Seigneur des Anneaux et Harry Potter sont parmi les jalons marquants. Une lignée qui remonte à ceux dont C. S. Lewis lui-même est l'héritier : les mythes grecs, le folklore irlandais, les contes de Grimm et d'Andersen... C'est avec des yeux d'enfant, de l'enfant que le Professeur Lewis n'a jamais oublié d'être, que nous entrons, comme Lucy, à travers l'Armoire, dans un monde où s'affrontent courage, loyauté et trahison, où s'accomplissent conflits héroïques et quêtes magiques, et où la présence la plus lumineusement humaine est celle d'un lion qui parle.
Grâce à la langue limpide et énergique de C. S. Lewis, à son génie du suspense, l’univers du Monde de Narnia, où s’accomplissent conflits héroïques et quêtes magiques, peut séduire un large public, quel que soit son âge.

Extraits (1ère et dernière phrase du roman)
Cette rubrique m'a posé problème, Le Monde de Narnia étant en réalité composé de 7 récits indépendants. Il était difficile de choisir la 1ère phrase du 1er récit - qui n'est d'ailleurs pas le 1er écrit par l'auteur - et la dernière du dernier, étant donné que toute l'histoire du monde de Narnia se joue entre les deux. J'ai donc choisi de découper cette rubrique en 7 parties...

Le Neveu du magicien (1955)
C'est une histoire qui s'est passée il y a très longtemps, à l'époque où votre grand-père était un petit garçon.

C'était un sacré brin de femme, un sacré brin de femme.

Le Lion, la Sorcière Blanche et l'Armoire magique (1950)
Il était une fois quatre enfants qui s'appelaient Peter, Susan, Edmund et Lucy.

Mais si le professeur a raison, ce n'est que le début des aventures de Narnia...

Le Cheval et son écuyer (1954)
Voici le récit d'une aventure qui s'est déroulée à Narnia, à Calormen et dans les contrées qui les séparent, durant l'Âge d'Or où Peter était roi suprême de Narnia, son frère et ses deux sœurs roi et reines en dessous de lui.

Et il n'y eut guère de mois où, ensemble ou séparément, ils ne passèrent le col au petit trot pour rendre visite à leurs amis d'Anvard.

Prince Caspian (1950)
Il était une fois quatre enfants qui se prénommaient Peter, Susan, Edmund et Lucy.

- Oh ! Zut ! s'écria Edmund, j'ai oublié ma lampe de poche à Narnia !

L'Odyssée du Passeur d'Aurore (1952)
Il était une fois un garçon qui s'appelait Eustache Clarence Scrubb, et l'on est tenté de dire qu'il le méritait bien.

L'autre est que, quand il fut de retour dans notre monde à tous, tous se mirent vite à dire combien Eustache s'était amélioré, et que « on ne croirait jamais que c'est le même garçon » ; tous, sauf tante Alberta qui disait qu'il était devenu ordinaire et très ennuyeux, et que cela devait être l'influence de ces petits Pevensie.

Le Fauteuil d'argent (1953)
C'était un morne jour d'automne et Jill Pole pleurait derrière le gymnase.

Si jamais vous avez la chance de vous rendre vous-même à Narnia, n'oubliez pas de jeter un coup d'œil à ces grottes.

La Dernière Bataille (1956)
Aux derniers temps de Narnia, au-delà de la Lande du Réverbère et tout près de la grande chute d'eau, loin vers l'ouerst, vivait un singe.

Celle qui dure toujours, et dans laquelle chaque chapitre est meilleur que le précédent.

Mes impressions
Un des classiques de la littérature fantastique, un énorme pavé à poser sur ses genoux pour se plonger dans ce monde...
Il est difficile de parler de cette saga dans sa globalité, tous les récits la composant ne trouvant pas le même écho en moi même si c'est certainement le plaisir et l'émerveillement qui dominaient à ma première lecture.
En résumé donc, ce que j'ai aimé ? La découverte d'un univers fantastique que l'on voit naître, vivre et mourir - très rare ça - les aventures diverses, les héros qui ne sont pas tous les mêmes, la richesse de Narnia et la présence d'Aslan.

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