Les Chasseurs de mammouths
                                        Jean M. AUEL
     The Mammoths Hunters

sorti en 1985
630 pages
Genre : saga préhistorique

3ème volume de la série Les enfants de la terre

4ème de couverture
Suivant son compagnon, Jondalar, la jeune et jolie Ayla fait son entrée dans la société des Mamutoï, la tribu des chasseurs de mammouths. Vont-ils l'accepter en leur sein ?
Des complications surgissent lorsque Ranec, un artiste de la tribu, l'invite à venir admirer les statuettes en ivoire qu'il a sculptées pour honorer la « Grande Mère », figure suprême de la religion des Mamutoï.
Enfant noir adopté par la tribu, Ranec est un séducteur. Malgré son rejet des mœurs du clan, Ayla succombe facilement à son charme. Trop facilement au goût de l'infortuné Jondalar, qui, dévoré par une jalousie féroce, est plongé dans une situation d'autant plus cruelle que ce sentiment est considéré comme un vice ignoble.
Jondalar sombre lentement dans le désespoir. Quant à Ayla, qui choisira-t-elle : l'artiste noir ou le chasseur blond ?

Attendu avec impatience par des millions de lecteurs à travers le monde, Les Chasseurs de mammouths, troisième volet de la série « Les Enfants de la Terre », allait battre tous les records de vente et asseoir la réputation de Jean M. Auel à double titre : auteur best-seller et spécialiste de la préhistoire reconnue par ses pairs les plus prestigieux.

Extraits (1ère et dernière phrase du roman)
Tremblante de peur, accrochée à l'homme qui la dominait de sa haute taille, Ayla regardait approcher les inconnus.

Mais pendant que Ranec, artiste pétri de talent, de charme, d'esprit, regardait la femme de son cœur s'en aller, son sourire s'était figé, et ses yeux noirs rieurs débordaient de larmes.

Mes impressions
Comme à mon habitude, j'ai fidèlement recopié la 4ème de couverture mais cette fois, je ne suis pas d'accord avec l'aperçu qu'elle donne de ce roman : certaines imprécisions, une mauvaise traduction peut-être, des erreurs qui donnent une idée fausse sur la trame de l'histoire.
Si le triangle amoureux entre Jondalar, Ayla et Ranec est bien réel, il n'est pas du tout tel qu'insinué dans ces quelques lignes.
Comme quoi, il ne faut pas forcément s'attarder sur la première impression d'un roman, qui peut s'avérer fausse à la lecture... à moins que ce soit moi qui me fasse une idée fausse de ma lecture !

Enfin bref, passons à ce que j'ai aimé dans ce volume de la série...
La première confrontation d'Ayla avec les Autres, ceux qui lui ressemblent. La découverte du mode de vie des Mamutoï. Le triangle amoureux qui se met en place par incompréhension. Les malentendus qui favorisent l'éloignement, la souffrance qui en résulte d'un côté comme de l'autre.
Les caractères différents au sein du Camp du Lion et lors de la Réunion d'été, pas si différents de nos comportement modernes. La découverte de Loup et la manière dont il tient progressivement une place importante dans la vie du Camp et dans le cœur d'Ayla.
Rydag et toute la douleur d'être différent. Frebec ou comment une personne peut évoluer et devenir un homme bien. Mamut et la destinée future d'Ayla...

Sommaire
La Vallée des chevaux                                             Le Grand Voyage

La Vallée des chevaux     Jean M. AUEL
     The Valley of Horses

sorti en 1982
480 pages
Genre : saga préhistorique

2ème volume de la série Les enfants de la terre

4ème de couverture
Injustement chassée de la tribu qui l'avait recueillie, Ayla erre à travers les steppes du nord de l'actuelle mer Noire, dans l'espoir de rencontrer son peuple d'origine. Elle finit par se réfugier dans une vallée où vit une troupe de chevaux sauvages.
Là, elle fait d'extraordinaires découvertes et parvient à percer le secret du feu. Elle adopte aussi une pouliche et un lionceau, et parcourt le vaste monde, chassant en compagnie du plus puissant des prédateurs. Pour être pleinement heureuse, il ne lui manque qu'un compagnon.
Mais le destin veille... Le jeune et blond Jondalar, après un long voyage riche en péripéties, la rejoindra et partagera sa vie dans la vallée. Grâce à lui, Ayla va faire une découverte aussi importante que celle du feu : l'amour.

Deuxième volet de la série « Les Enfants de la Terre », La Vallée des chevaux confirmait l'irruption au firmament de la littérature romanesque d'une nouvelle étoile : Jean M. Auel, l'auteur de la plus grande saga préhistorique de tous les temps.

Extraits (1ère et dernière phrase du roman)
Elle était morte.

- Ces gens, dit-elle, surprise et émerveillée, ils sourient. Ils me sourient, Jondalar !

Mes impressions
Ce que j'ai aimé dans ce volume ?
Le courage et la force de caractère d'Ayla, ses découvertes parfois accidentelles. L'irruption dans sa vie de deux amis inédits, une pouliche et un lionceau.
Le long Voyage de Jondalar et Thonolan, qui nous amène à bien connaître celui qui partagera la vie de l'héroïne tout en découvrant des modes de vie différents mais pourtant basés sur une même croyance. Les difficultés de communication, les incompréhensions parfois culturelles, l'apprentissage mutuel.
L'Amour à la préhistoire.

Sommaire
Le Clan de l'Ours des Cavernes                              Les Chasseurs de mammouths

Le Clan de l'Ours des Cavernes
                                        Jean M. AUEL
     The Clan of the Cave Bear

sorti en 1980
373 pages
Genre : saga préhistorique

1er volume de la la série Les enfants de la terre

4ème de couverture
Quelque part en Europe, 35 000 ans avant notre ère...
Petite fille de cinq ans, Ayla est séparée de ses parents à la suite d'un violent tremblement de terre.. Elle est recueillie par une tribu qui l'adopte, non sans réticence, ayant reconnu en elle la représentante d'une « autre » espèce, plus évoluée.
Ayla appartient en effet déjà aux hommes de Cro-Magnon alors que son clan d'adoption en est encore au stade du Neandertal.
Iza la guérisseuse, Brun le chef, Mog-ur le sorcier lui enseignent les règles de la vie communautaire, leurs rites, leurs peurs, leurs audaces. Mais Ayla, moins velue, plus élancée, les surprend par sa puissance de raisonnement qui lui permet de s'adapter, de réagir rapidement et de ne plus être totalement dépendante de l'environnement.
Avec les années, elle dépasse les autres membres du clan en taille, en savoir, en détermination. Elle s'oppose souvent à leurs coutumes, enfraint leurs règles. Le clan songe parfois à la supprimer. Violée par le fils de Brun, Ayla mettra au monde un garçon dont l'apparence physique annonce d'ores et déjà l'inéluctable évolution de l'espèce...

Avec Le Clan de l'Ours des Cavernes, des millions de lecteurs à travers le monde ont découvert la vie de leurs lointains ancêtres et, en même temps, le nom de Jean M. Auel : une nouvelle venue dans le monde de la littérature romanesque, qui n'avait pas fini de faire parler d'elle...

Extraits (1ère et dernière phrase du roman)
L'enfant nue quitta l'auvent de peaux de bêtes pour courir vers la crique nichée au creux d'un méandre de la petite rivière.

La dernière chose qu'Ayla entendit avant de disparaître derrière l'énorme rocher fracassé par le tremblement de terre, ce fut la plainte déchirante de Durc.
- Maama... ! Maaama... ! Maamaaa... !

Mes impressions
Je lis rarement des romans que je n'ai pas choisis moi-même, ne serait-ce que parce qu'à mon âge je connais bien mes goûts en matière de littérature. Cette série est l'une des exceptions à cette règle.
Le 1er volume m'a été prêté et au départ j'étais bien peu convaincue à l'idée de me plonger dans une histoire se déroulant à la préhistoire. Mais comme je ne voulais pas décevoir la personne qui me l'avait conseillé, j'ai fait l'effort... et je ne l'ai pas regretté !

Ce que j'ai aimé ? La découverte détaillée, explicite, véridique d'une période de l'histoire bien peu connue, dans une forme tellement éloignée des rébarbatifs cours d'histoire. L'histoire dans l'Histoire. Le destin peu commun de cette petite orpheline recueillie par des êtres si différents d'elle, l'attachement qui se crée entre eux... la haine aussi, fatalement, devant la différence. Les croyances et la magie, les coutumes, les difficultés, l'audace.

Sommaire                                                  La Vallée des chevaux

La Fin de partie de l'enchanteur
                                        David EDDINGS
     Enchanters' End Game

sorti en 1984
524 pages
Genre : fantasy

5ème et dernier chant de La Belgariade

4ème de couverture
« À quoi servait d'appeler Belgarath ? Sans doute avait-il atteint la Cité de la Nuit, où Torak s'éveillait au milieu des ruines.
L'immense geste s'achevait dans le fracas des armes, et l'enfant de la Prophétie n'était pas prêt...
La guerre de sept mille ans allait finir par la victoire du Dieu-Dragon des Angaraks ! »

Extraits (1ère et dernière phrases du roman)
Entendez ma voix, ô Angaraks ! Je suis Torak, Prince entre les Princes et Roi des Rois.

Et cependant que l'Histoire, contrairement aux plumes mortelles, se poursuit sans relâche, les récits à partir de ce moment restent encore à venir.

Mes impressions
Ainsi s'achèvent les chants de la Belgariade...
Ce que j'ai aimé dans ce dernier volume ? La rencontre, brève et presque anecdotique, avec le personnage que je préfère dans toute la série. Le long parcours de Garion vers la cité où l'attend la rencontre avec Torak, entrecoupé par le point de vue de ceux restés en arrière et chargés de faire une dangereuse diversion. La mort, brutale mais nécessaire, d'un homme bon. Le duel entre l'Enfant de Lumière et l'Enfant des Ténèbres, où ce qui compte vraiment n'est finalement pas les coups donnés. Le point final qui n'en est pas un...
À suivre dans les chants de la Mallorée, donc !

La Tour des maléfices                                             Sommaire

La Tour des maléfices     David EDDINGS
     Castle of Wizardry

sorti en 1984
550 pages
Genre : fantasy

4ème chant de La Belgariade


4ème de couverture
« Et la prophétie suivit son cours. Au cœur du tumulte, on entendit un bruit métallique, comme si une tombe scellée par la rouille venait de s'ouvrir. Garion en fut glacé jusqu'aux os. Arraché à des siècles de sommeil, un cri de rage surgit des ténèbres et réclama du sang. Mais ce n'était pas le pire. C'était la voix de Torak. Le dieu défiguré était de retour. »

Extraits (1ère et dernière phrase du roman)
Or il advint que Cherek et ses trois fils accompagnèrent Belgarath le Sorcier en Mallorée afin de reconquérir l'Orbe d'Aldur dérobée par Torak.

Ce'Nedra poussa un soupir, puis elle carra les épaules et mena à travers les champs baignés de soleil les légions tolnedraines qui venaient grossir les rangs de son armée.

Mes impressions
Ce que j'ai aimé dans ce roman ? La révélation attendue de la véritable identité de Garion - qui l'ignorait encore ? - et les conséquences qui en découlent, le lien étrange et inattendu, lui, entre Relg et Taïba, l'inquiétude au sujet de Belgarath - est-ce la fin du plus grand sorcier de tous les temps ? La rencontre avec Adara et la réaction de Ce'Nedra, la fuite précipitée de l'Île des Vents et l'attitude si posée de Polgara !

Sommaire
Le Gambit du magicien                                       La Fin de partie de l'enchanteur

Cinquante nuances plus claires     EL JAMES
     Fifty Shades freed

sorti en 2011
713 pages
Genre : romance érotique

3ème et dernier tome de la trilogie Fifty Shades

4ème de couverture
Ana et Christian ont tout pour être heureux : l'amour, la fortune et un avenir plein de promesses. Ana apprend à vivre dans le monde fastueux de son M. Cinquante Nuances, sans perdre son intégrité ni son indépendance, tandis que Christian s'efforce de se défaire de son obsession du contrôle et d'oublier son terrible passé.
Mais bientôt, alors que tout semble leur sourire, le destin les rattrape et leurs pires cauchemars deviennent réalité...
Un happy end est-il possible pour Christian Grey et Anastasia Steele ?

Romantique, libératrice et totalement addictive, la trilogie Fifty Shades, dont Cinquante nuances plus claires est le dernier volume, vous obsédera, vous possédera et vous marquera à jamais.

Extraits (1ère et dernière phrase du roman)
Maman ! Maman ! Maman dort par terre.

Maintenant il faut que j'attende... que j'attende... une fois de plus.

Mes impressions
Finalement, il m'aura fallu plus de temps que prévu pour venir à bout de cette trilogie - migraine oblige. Mais clairement, je ne regrette pas mon achat !
Ce que j'ai aimé dans ce dernier tome ? L'atmosphère qui s'assombrit au fil des pages, depuis la lumineuse lune de miel sur la Côte d'Azur à la descente aux enfers du rejet de Christian et du cavalier seul d'Ana. Les scènes de sexe moins omniprésentes, prépondérantes. Les péripéties qu'on sent parfois venir - Petit Pois - et les autres... Le « tout est bien qui finit bien » digne d'un conte de fées moderne - c'est finalement tellement éloigné de la réalité où tout se termine rarement bien. Et l'épilogue avec les Nuances de Christian.
Je recommande, sans hésiter !

Cinquante nuances plus sombres                                        Sommaire

Cinquantes nuances plus sombres
                                             EL JAMES
     Fifty Shades darker

sorti en 2011
710 pages
Genre : romance érotique

2ème tome de la trilogie Fifty Shades

4ème de couverture
Dépassée par les sombres secrets de Christian Grey, Anastasia Steele a mis un terme à leur relation pour se consacrer à sa carrière d'éditrice. Mais Grey occupe toujours ses pensées et, lorsqu'il lui propose un nouvel accord, elle ne peut lui résister. Peu à peu, elle découvre le douloureux passé de son sulfureux M. Cinquante Nuances.
Tandis que Christian lutte contre ses démons intérieurs, Ana doit prendre la décision la plus importante de sa vie...

Romantique, libératrice et totalement addictive, la trilogie Fifty Shades, dont Cinquante nuances plus sombres est le deuxième volume, vous obsédera, vous possédera et vous marquera à jamais.

Extraits (1ère et dernière phrase du roman)
Il est revenu.

Sa chance viendra. BIentôt.

Mes impressions
Honnêtement, j'ai un peu moins accroché sur le 2ème volume de cette trilogie, surtout au début. Une impression de déjà-vu un peu trop présente, et il me manquait la légèreté de ton et l'humour que j'avais tant appréciés dans le 1er volume.
Bon en même temps, après ma réaction excessivement enthousiaste après la lecture addictive de  Cinquante nuances de Grey, je ne pouvais que redescencre ! lol

Ce que j'ai aimé ? La découverte progressive du passé de Christian qui éclaire son comportement présent, les progrès réalisés à 2 pour que leur relation fonctionne, les péripéties annexes qui font avancer leur histoire plus vite - parfois difficile de croire qu'il s'est écoulé si peu de jours depuis le début du roman tant les événements se multiplient.
Un regret, j'aurais aimé connaître la version de Mrs Robinson avant le clash final... mais il me reste un volume à découvrir !

Sommaire
Cinquante nuances de Grey                                  Cinquante nuances plus claires

Cinquante nuances de Grey     EL JAMES
     Fifty Shades of Grey


sorti en 2011
666 pages
Genre : romance érotique

1er tome de la trilogie Fifty Shades

4ème de couverture
Anastasia Steele, étudiante en littérature, a accepté la proposition de son amie journaliste de prendre sa place pour interviewer Christian Grey, un jeune et richissime chef d'entreprise de Seattle.
Dès le premier regard, elle est à la fois séduite et initimidée. Convaincue que leur rencontre a été désastreuse, elle tente de l'oublier, jusqu'à ce qu'il débarque dans le magasin où elle travaille à mi-temps et lui propose un rendez-vous.
Ana est follement attirée par cet homme. Lorsqu'ils entament une liaison passionnée, elle découvre son pouvoir érotique, mais aussi la part obscure qu'il tient à dissimuler...

Romantique, libératrice et totalement addictive, la trilogie Fifty Shades, dont Cinquante nuances de Grey est le premier volume, vous obsèdera, vous possèdera et vous marquera à jamais.

Extraits (1ère et dernière phrase du roman)
Je grimace dans le miroir, exaspérée.

Je me roule en boule, désespérément agrippée au ballon dégonflé et au mouchoir de Taylor, et je m'abandonne à mon chagrin.

Mes impressions
Oh. My. God.
Je savais à quoi je m'attendais en entamant ce roman, enfin cette trilogie. J'en avais entendu parler, beaucoup entendu parler. J'avais lu un résumé, des commentaires de lectrices. Ce n'est pas par hasard si j'ai choisi, pour commencer ma lecture, une semaine de vacances sans ma fille, cloîtrée à la maison.
Mais oh my god ! De temps à autre, comme ça, il y a des lectures addictives...
La factrice a déposé le colis dans ma boîte aux lettres, tôt ce matin. J'ai sautillé jusqu'à la grille, récupéré le carton et me suis enfermée dans la maison avec mon paquet comme un enfant devant ses cadeaux le jour de Noël. Déballés, posés sur la table, trois romans à la couverture à dominante noire. Combien de temps vais-je résister avant de tourner la première page ?
Une demi-heure plus tard, roulée en boule dans un coin du canapé, j'entame ma plongée dans ce sombre univers érotico-romanesque.
Les heures ont filé, la journée s'est écoulée, je n'ai pas réussi à m'éloigner. J'ai parfois posé le livre à côté de moi, pour reprendre mon souffle, mais ma main se tendait inconsciemment pour le glisser à nouveau sous mes yeux, pressée de tourner encore d'autres pages.
Promis j'attendrai demain pour lire la suite... peut-être.

Ce que j'ai aimé ? TOUT !!!
L'humour qui se mêle à l'érotisme pour en faire un roman à la fois léger et prenant. Les bouffées de chaleur à la lecture de certains passages - un vrai porno pour les femmes. La justesse des émotions, de toutes les émotions. L'inattendu au détour d'une page et mes éclats de rire..
Lecture addictive, il n'y a pas d'autre mot... Je sens déjà la suite qui me fait de l’œil depuis les étagères de la bibliothèque.

Sommaire                                        Cinquante nuances plus sombres

Le Gambit du magicien     David EDDINGS
     Magician's Gambit

sorti en 1983
469 pages
Genre : fantasy

3ème chant de La Belgariade

4ème de couverture
La saison de la blessure était venue. La saison où jadis l'Orbe avait brûlé Torak. Le moment propice aux sacrifices humains. Car l'Orbe était là, dans les mains du voleur. Il fallait récupérer la pierre où palpitait la vie. Le sort des royaumes du Ponant en dépendait...

Extraits (1ère et dernière phrase du roman)
Au Commencement des Âges, les sept Dieux donnèrent le jour au monde, puis ils créèrent les animaux à poil et à plume, les serpents, les poissons, et enfin l'Homme.

Il tourna les talons et les mena dans les grottes ténébreuses tandis que la terre tremblait sous leurs pieds.

Mes impressions
Ce que j'ai aimé dans ce roman ? La poursuite de la quête qui nous fait découvrir d'autres cultures, d'autres races, le pouvoir de Garion qui s'affirme, la rencontre avec les dieux, le destin que l'on devine mais que les héros continuent d'ignorer, le fanatisme religieux de Relg qui vient s'ajouter au groupe et la rencontre fortuite avec Taïba, l'affrontement cataclysmique entre le sorcier et le magicien.

Sommaire
La Reine des sortilèges                                                  La Tour des maléfices

La Reine des sortilèges     David EDDINGS
     Queen of Sorcery


sorti en 1982
546 pages
Genre : fantasy

2ème chant de La Belgariade


4ème de couverture
L’univers vacille et Belgarath se hâte : il faut retrouver l’Orbe d’Aldur, le joyau du destin, qui peut sauver les hommes de la colère des dieux. De la brumeuse Arendie à la putride Nyissie, patrie des Hommes-Serpents, Belgarath entraîne Garion sur une route semée d’embûches. Garion, le petit paysan : est-ce lui, l’Enfant de Lumière, le descendant des rois de Riva, l’enfant marqué par les présages pour affronter Torak ?


Extraits (1ère et dernière phrase du roman)
Dans le matin du monde, Torak, le Dien pervers, s’empara de l’Orbe d’Aldur avec laquelle il s’enfuit, car il était assoiffé de pouvoir.

Alors les matelots plongèrent leurs avirons en cadence dans les eaux huileuses, et le vaisseau commença à remonter le courant, accompagné des éclats de rire de Silk, qui striaient l’air chargé de cendres.

Mes impressions
Ce que j’ai aimé dans ce 2ème volume de La Belgariade ? La poursuite de la découverte des Royaumes du Ponant et les nouveaux personnages qui viennent étoffer l’hétéroclite groupe de départ, l’impulsivité de Lelldorin, la bravoure de Mandorallen, les caprices de Ce’Nedra qui s’ajoutent à la filouterie de Silk, à la force de Barak, à l’efficacité laconique de Hettar et au bon sens terre-à-terre de Durnik. La révélation du pouvoir de Garion et la vengeance amère du meurtre de ses parents, ses incessants états d’âmes d’adolescent dépassé par les événements.

Sommaire
Le Pion blanc des présages                                             Le Gambit du magicien