La Reine des sortilèges
La Reine des sortilèges David EDDINGS
Queen of Sorcery
sorti en 1982
546 pages
Genre : fantasy
2ème chant de La Belgariade
4ème de couverture
L’univers vacille et Belgarath se hâte : il faut retrouver l’Orbe d’Aldur, le joyau du destin, qui peut sauver les hommes de la colère des dieux. De la brumeuse Arendie à la putride Nyissie, patrie des Hommes-Serpents, Belgarath entraîne Garion sur une route semée d’embûches. Garion, le petit paysan : est-ce lui, l’Enfant de Lumière, le descendant des rois de Riva, l’enfant marqué par les présages pour affronter Torak ?
Extraits (1ère et dernière phrase du roman)
Dans le matin du monde, Torak, le Dien pervers, s’empara de l’Orbe d’Aldur avec laquelle il s’enfuit, car il était assoiffé de pouvoir.
Alors les matelots plongèrent leurs avirons en cadence dans les eaux huileuses, et le vaisseau commença à remonter le courant, accompagné des éclats de rire de Silk, qui striaient l’air chargé de cendres.
Mes impressions
Ce que j’ai aimé dans ce 2ème volume de La Belgariade ? La poursuite de la découverte des Royaumes du Ponant et les nouveaux personnages qui viennent étoffer l’hétéroclite groupe de départ, l’impulsivité de Lelldorin, la bravoure de Mandorallen, les caprices de Ce’Nedra qui s’ajoutent à la filouterie de Silk, à la force de Barak, à l’efficacité laconique de Hettar et au bon sens terre-à-terre de Durnik. La révélation du pouvoir de Garion et la vengeance amère du meurtre de ses parents, ses incessants états d’âmes d’adolescent dépassé par les événements.
Sommaire
Le Pion blanc des présages Le Gambit du magicien