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Chez Sylvania
f1
7 février 2014

Kissing a dream...

Je me tenais devant la porte fermée, le cœur battant.
Les mains moites, j’attendais que le couloir se vide, me demandant une fois de plus quelle folie m’avait amenée à cet endroit précis. Autour de moi, le bruit des conversations s’estompa. Bientôt, je n’entendis plus que les battements sourds de mon cœur. Avais-je perdu l’esprit ?
Poussée par quelque démon qui devait se réjouir de mes tourments intérieurs, je levai la main et frappai plusieurs coups peu assurés contre le battant de bois, espérant vaguement que personne ne vienne répondre.
Une éternité sembla s’écouler, je respirai plus librement alors que mon appréhension s’estompait devant l’évidence : il n’y avait personne.
Alors que je m’apprêtais à regagner la sécurité de ma chambre, la porte s’ouvrit soudain et il se tint devant moi, me dominant de sa grande taille, une interrogation polie dans les yeux.
- Yes ?
Le souffle court, j’oubliai instantanément le discours que j’avais pourtant soigneusement préparé. Une panique familière m’envahit et je maudis le brusque accès de courage qui m’avait conduite dans ce couloir.
Une pensée traversa mon esprit tétanisé, je n’avais rien à perdre à vivre cette folie jusqu’au bout.
- Pouvons-nous discuter quelques instants ? m’entendis-je lui demander en anglais.
Visiblement surpris par la requête inattendue de cette inconnue, il ouvrit néanmoins sa porte et m’invita à entrer.
Je m’avançai dans la chambre d’hôtel, remarquant à peine la douceur de l’épaisse moquette grise, la sobriété du mobilier de bois sombre, la valise entrouverte posée sur le pied du lit.
D’une politesse exquise teintée d’un soupçon de curiosité, il m’invita à m’asseoir sur le canapé disposé entre les deux fenêtres. Je traversai la pièce comme dans un rêve et pris place sur le siège de velours brun avec un soulagement que je dissimulai derrière un sourire crispé. Même si mes jambes tremblantes me lâchaient, je ne m’effondrerais pas lamentablement sur le sol en face de lui.
Après une seconde d’hésitation, il vint me rejoindre sur le canapé - j’aurais pu le toucher en tendant la main vers lui - et il se tourna vers moi, attendant patiemment que je lui explique la raison de ma présence.
La gorge nouée, je gardai les yeux baissés de peur de croiser son regard et de perdre le peu de moyens qui me restait.
- Je… je sais que vous ne me connaissez pas, et vous… vous allez sans doute me prendre pour une folle, mais… balbutiai-je sans plus réfléchir, les mots s’échappant soudain de mes lèvres sans que je puisse les retenir malgré mon manque de pratique de la langue de Shakespeare. Je n’aurai sans doute jamais d’autre occasion et je, je… je ne veux pas me dire, dans quelque temps, que j’ai bêtement laissé passer ma chance.
« Je connais trop bien », ajoutai-je en moi-même, « le poids des regrets des occasions que l’on n’a pas eu le courage de saisir… »
Je levai finalement les yeux sur son visage pour observer sa réaction. Malgré l’incohérence de mes propos, il me regardait avec la même expression concentrée qu’il arborait toujours avant l’extinction des feux rouges.
Sentant une chaleur inopportune gagner mes joues sous ce regard pénétrant, je baissai à nouveau les yeux, les posant désespérément sur mes mains glacées.
- Oui ? répéta-t-il d’un ton interrogateur, cherchant visiblement à comprendre ce qui m’amenait.
Les mots restaient bloqués dans ma gorge, j’aurais voulu disparaître et oublier que j’étais venue jusqu’ici. Mais le démon qui s’amusait à mes dépens m’incita à poursuivre, se délectant de l’humiliation qui allait suivre.
- Ça va vous sembler ridicule, mais je… j’éprouve pour vous des sentiments qui… commençai-je d’une voix hachée par l’émotion. Je sais que je ne connais de vous que l’image que vous avez choisi de montrer, mais ce que je ressens n’a rien à voir avec l’admiration d’une midinette pour son idole ! C’est l’attirance d’une femme pour un homme, m’enflammai-je soudain, gardant obstinément les yeux baissés sur mes mains qui se crispaient, la chaleur gagnant progressivement le reste de mon visage.
À l’agonie, je poursuivis dans un souffle.
- Je suis amou…
Un doigt se posant sur mes lèvres me réduisit au silence. Je n’osai plus bouger. Il n’avait pas éclaté de rire devant ma stupide déclaration, un bon point pour lui, mais il n’avait toujours rien dit.
Le silence s’éternisa.
Était-il furieux, choqué, mal à l’aise, en colère, offensé ? Préparait-il une diatribe qui me crucifierait sur place ou cherchait-il une manière délicate de se débarrasser de moi ? Lever les yeux vers lui était au-dessus de mes forces.
Sa réponse, d’une voix mesurée, me prit par surprise.
- Savez-vous pourquoi, contrairement à certains de mes… collègues, je suis célibataire et aussi notoirement sans attache ?
Rendue muette par ce doigt qui frôlait toujours mes lèvres - pourquoi n’avait-il pas reposé sa main ? - je bougeai légèrement ma tête dans un geste de dénégation, appréhendant l’explication qui n’allait pas manquer de suivre. Allait-il briser toutes mes illusions et mes rêves futurs en m’annonçant qu’il était secrètement marié, ou épris d’une personne non disponible ? À moins qu’il ne prétende être en réalité attiré par les hommes ?
À cette idée, qui ne m’avait jamais effleurée auparavant, toute la chaleur déserta mon visage, me laissant plus glacée que si j’étais restée toute une journée dehors, en plein hiver.
- La manière dont je vis, dont nous vivons tous dans ce milieu, n’est que difficilement compatible avec une vie de couple épanouie. Rares sont ceux qui parviennent à gérer leur carrière et leur vie de famille sans que l’une ou l’autre n’en pâtisse, commença-t-il, sa voix gagnant en ferveur au fur et à mesure de son explication. Je refuse d’imposer une relation aussi épisodique à une femme. Le jour où je déciderai de m’investir dans une relation amoureuse, ce sera parce que celle que j’aime est plus importante à mes yeux que les titres ou les victoires. Elle aura la première place dans ma vie, parce que c’est aussi ce que j’aimerais être pour elle.
Un frisson me parcourut toute entière à cette déclaration digne d’une profession de foi. S’il était sincère, et curieusement je n’en doutais pas, l’image de lui véhiculée par les médias, pourtant déjà flatteuse, ne lui rendait pas justice.
J’osai enfin relever la tête et croisai son regard lumineux. Une flamme s’alluma en moi, brûlant ma réserve habituelle.
- Comment savez-vous que vous ne l’avez pas déjà croisée, cette femme que vous attendez ? Si vous refusez d’entamer la moindre relation, vous pourriez la laisser passer sans le savoir !
Il sourit.
Et ce sourire sur son visage habituellement austère modifia tellement son expression que je serrai les poings pour m’empêcher de tendre ma main vers lui, attirée par sa chaleur comme un papillon par une flamme.
- Je le saurais, fit-il avec simplicité, inconscient du maelström d’émotions qu’il provoquait en moi.
Le souffle court, j’étais à présent aussi incapable de le quitter des yeux que quelques instants plus tôt je l’étais de croiser son regard.
- Et si elle était prête à se contenter de ce que vous avez à offrir dès maintenant ? Prête à vous soutenir dans votre carrière ? Prête à se battre pour de nouvelles victoires, pour ce titre auquel elle aspire autant que vous, pour vous ?
- Alors je serais l’homme le plus chanceux du monde.
Cette même évidence dans sa voix.
- Mais vous ne parlez plus d’une personne hypothétique, me fit-il remarquer. L’amour ne se commande pas.
Je soupirai. Je ne pouvais qu’être d’accord avec lui.
- Non, l’amour ne se commande pas… murmurai-je pour moi.
Je ne pouvais choisir de ne plus ressentir ce que j’éprouvais pour lui. Il enflammait mes rêves depuis trop longtemps. Je réalisai soudain que ce qui m’avait amenée jusqu’à sa porte n’était pas le besoin irrépressible de lui avouer mes sentiments, mais l’espoir que son comportement annihilerait ces sentiments. J’aurais dû savoir que c’était perdu d’avance.
Le silence s’installa à nouveau, d’une texture différente.
Une fois de plus je baissai les yeux, pour ne pas lire la compassion dans le regard qu’il posait sur moi. Je ne pouvais supporter sa pitié. J’aurais voulu qu’il pose les yeux sur moi et tombe éperdument amoureux au premier regard ! Comment pouvais-je être encore aussi naïve à mon âge ? La vie n’est pas un conte de fée…
Je me levai, prête à partir, à m’enfuir. Sa main se posa sur mon bras nu pour me retenir, envoyant une décharge dans tout mon corps.
- J’aimerais rencontrer une femme telle que vous la décrivez, avoua-t-il, se levant à son tour.
- Je vous le souhaite…
Mes mots n’étaient qu’un souffle à peine audible devant ce vœu sincère mais tellement douloureux. Sa main remonta lentement le long de mon bras, légère, laissant une trace de feu sur son passage. Tétanisée, ayant l’impression de me consumer de l’intérieur, mes pensées se bousculaient dans ma tête, incohérentes.
- Elle aurait sans doute beaucoup à perdre, à offrir son amour ainsi, remarqua-t-il d’un ton faussement détaché.
- Beaucoup à gagner aussi…
Je ne reconnaissais plus ma voix, assourdie par les battements de mon cœur qui s’affolait, tandis que sa main, toujours légère, quittait mon bras pour repousser délicatement une mèche de cheveux tombée devant mes yeux, s’attardant sur mon visage.
- Elle n’aurait aucune certitude quant à l’avenir ; le danger et la notoriété deviendraient ses compagnes, l’une comme l’autre sont parfois très lourdes à supporter et l’amour n’y survit pas toujours.
Sa voix beaucoup moins indifférente à présent, comme s’il retenait son souffle. Sa main qui descendait le long de mon visage, effleurant ma tempe, ma pommette, la courbe de ma joue, l’arrondi de mes lèvres entr’ouvertes.
- Je serais prête à courir ce risque…
Un murmure frémissant.
Sa main qui relevait doucement mon visage, tandis que le sien descendait à ma rencontre. Son regard où brillait une étincelle qui n’était pas présente quelques instants plus tôt. Sa bouche qui s’approchait de la mienne, promesse d’un peut-être inespéré. Son souffle chaud qui caressait ma peau à la sensibilité exacerbée dans l’attente…
Ses lèvres qui se posaient sur les miennes, dans une explosion de tout mon être.
La certitude d’avoir enfin trouvé mon havre de paix.

 

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1 février 2014

Essais hivernaux à Jerez - Pour le meilleur et pour le pire

Mardi 28 janvier 2014

En piste
Sebastian Vettel (Red Bull), Lewis Hamilton (Mercedes), Kimi Räikkönen (Ferrari), Jenson Button (McLaren), Sergio Pérez (Force India), Esteban Gutiérrez (Sauber), Jean-Éric Vergne (Toro Rosso), Valtteri Bottas (Williams) & Marcus Ericsson (Caterham)

Le premier mot qui me vient à l’esprit pour décrire cette journée, c’est « calme »… Finalement, le principal intérêt c’était de voir enfin les voitures en vrai sur la piste… du moins pour la plupart.
Les solutions « nasales » sont assez disparates, je suis curieuse de voir ce que ça donnera niveau performance. Deux tendances semblent se dessiner : les appendices phalliques qui prolongent le museau avec plus ou moins de réussite esthétique (Force India, Sauber, Toro Rosso, Williams & Caterham… en attendant la McLaren fantôme aujourd’hui) et les toboggans plongeants vers l’aileron avant (Mercedes & Ferrari). Quant à la Red Bull, elle se différencie avec une solution à mi-chemin entre les deux, plus esthétique en attendant de savoir si elle sera aussi plus performante. Pour Marussia et Lotus, on attend encore… a priori demain ou après-demain pour la première, Bahreïn pour la seconde.
Niveau sonore, perso je ne trouve rien à redire à ce nouveau V6 turbo et ce nouveau son, encore que je n’ai « entendu » que quelques vidéos partagées sur Twitter. Ça me rend juste encore un peu plus impatiente d’être au départ de Melbourne !
Sinon, quid de cette journée ? Pas grand-chose à en retirer… Peu de roulage, un problème d’attaches de l’aileron avant pas assez solides sur la Mercedes – une magnifique sortie de piste sans autre conséquence que matérielle pour Lewis Hamilton – des pilotes et des voitures qui se font attendre.
À suivre demain…

 

Mercredi 29 janvier 2014

En piste
Sebastian Vettel (Red Bull), Nico Rosberg (Mercedes), Kimi Räikkönen (Ferrari), Jenson Button (McLaren), Sergio Pérez (Force India), Esteban Gutiérrez (Sauber), Daniil Kvyat (Toro Rosso), Valtteri Bottas (Williams) & Marcus Ericsson (Caterham)

Il a plu sur Jerez, la piste est humide, ce sera donc LA journée de test pour les pneus intermédiaires et les pneus pluie – Pirelli arrose la piste avec un camion.
Piste sèche pour l’après-midi, les pilotes chaussent les pneus slicks.

Que retenir de cette 2ème journée d’essais sur le circuit de Jerez ?
Tout d’abord du point de vue des moteurs… Impressionnée par le nombre de tours réalisés par le moteur Mercedes en général (Mercedes, McLaren, Force India & Williams) et Nico Rosberg sur la W05 en particulier ! La fiabilité semble au rendez-vous pour le moment. À l’opposée, de l’inquiétude pour les équipes motorisées par Renault (Red Bull, Toro Rosso & Caterham) qui ont toutes connu des problèmes similaires - au niveau de l’alimentation électrique qui joue le rôle de « disjoncteur » sur le nouveau système. Seulement 11 petits tours en 2 jours pour Sebastian Vettel et puis s’en va… Sinon entre les deux, rien de particulier pour le moteur Ferrari, qui semble bien tourner.
Du côté des équipes, Marussia est arrivée à Jerez et devrait dévoiler sa MR03 demain ; Toro Rosso est la seule voiture à ne pas être sortie du stand aujourd’hui et chez Red Bull, on se montre philosophe, faute de mieux.
Hors piste, la nouvelle du jour est l’annonce officielle – très attendue mais officieuse depuis plusieurs jours - de l’arrivée d’Éric Boullier chez McLaren, au poste de directeur de course. Mais qui sera le team principal, coincé entre Ron Dennis et Éric Boullier ?
À suivre demain…

 

Jeudi 30 janvier 2014

En piste
Daniel Ricciardo (Red Bull), Lewis Hamilton (Mercedes), Fernando Alonso (Ferrari), Jenson Button & Kevin Magnussen (McLaren), Nico Hülkenberg (Force India), Adrian Sutil (Sauber), Jean-Éric Vergne (Toro Rosso), Felipe Massa (Williams), Max Chilton (Marussia) & Robin Frijns (Caterham)

« Bilan » de ce 3ème jour d’essais hivernaux…
Nouvelle journée très positive pour le motoriste Mercedes, entre le nombre important de tours parcourus par les équipes et le meilleur temps – très relatif quand même – du rookie Kevin Magnussen sur la McLaren. Et surtout, aucun problème depuis mardi.
Par contre, les ennuis s’accumulent pour Renault en général et Red Bull en particulier, qui aurait des problèmes de refroidissement dus à la conception de la voiture. D’ailleurs Adrian Newey est reparti à Milton Keynes pour « revoir sa copie »… Mais bon, c’est aussi à ça que servent les essais. J’espère juste que la RB10 sera présente à Melbourne dans les meilleures conditions possibles – encore que, une année de vaches maigres pour mon quadruple champion du monde préféré serait particulièrement formatrice et positive pour sa popularité, surtout s’il réussissait à « porter » l’équipe malgré les ennuis, comme l’a fait Alonso chez Ferrari par exemple.
Sinon, parmi les événements marquants du jour, l’apparition et les premiers tours de la Marussia MR03, tendance appendice phallique réussie. Déjà hâte de voir Jules Bianchi la piloter !
Suite et fin des essais demain…

 

Vendredi 31 janvier 2014

En piste
Daniel Ricciardo (Red Bull), Nico Rosberg & Lewis Hamilton (Mercedes), Fernando Alonso (Ferrari), Kevin Magnussen (McLaren), Daniel Juncadella (Force India), Adrian Sutil (Sauber), Daniil Kvyat (Toro Rosso), Felipe Massa (Williams), Jules Bianchi (Marussia) & Kamui Kobayashi (Caterham)

Une 4ème et dernière journée particulièrement productive, malgré la piste humide de la matinée – la météo a suivi les directives de Pirelli, qui prévoyait originellement le vendredi comme journée de test des pneus pluie et intermédiaires !
Des essais toujours aussi impressionnants du côté de Mercedes, avec déjà une simulation de course pour Nico Rosberg. La fiabilité et la régularité semblent au rendez-vous chez le motoriste allemand, et ce avec tous ses partenaires.
Par contre, chez Red Bull on boit le calice jusqu’à la lie avec seulement 7 tours parcourus aujourd’hui (21 au total pendant ces 4 jours) avant de jeter définitivement l’éponge et de se donner rendez-vous à Bahreïn. Dur pour les quadruples champions du monde en titre, qui cumulent des ennuis liés au nouveau moteur hybride Renault et à la conception même de leur voiture.
À noter, le roulage important aussi chez Ferrari sans rencontrer le moindre problème, Felipe Massa 1er sur la feuille des temps devant Fernando Alonso – même si ça ne veut rien dire, je n’ai pu retenir un sourire – les rookies qui s’en sortent bien.

Essais hivernaux Jerez

 Mon impression des 4 jours d'essais à Jerez

Niveau motoristes :
-> Mercedes impressionnant, fiabilité et constance au rendez-vous
-> Ferrari moins impressionnant visuellement (avec 2 équipes seulement jusqu’au dernier jour), mais tout aussi fiable et régulier
-> Renault décevant, des soucis avec toutes ses équipes qui limitent le roulage

Niveau équipes :
-> des essais parfaits pour Mercedes malgré une petite frayeur le 1er jour, les plus présents en piste
-> tout aussi parfait pour Ferrari, du roulage, un meilleur temps le 1er jour et aucun souci
-> essais également réussis pour McLaren malgré une journée d’absence et une fin un peu animée, compensées par 2 meilleurs temps et du roulage
-> et tout aussi réussi pour Williams, avec du roulage, un meilleur temps le dernier jour et aucun souci
-> un peu plus mitigé chez Sauber, un roulage moins important, une petite frayeur mais aucun gros souci
-> pareil chez Force India, mais sur une pente ascendante avec le bon roulage du dernier jour
-> pas mal de petits soucis chez Caterham, peu de roulage mais curieusement la plus présente des équipes motorisées par Renault
-> un peu pareil pour Toro Rosso, pas mal de petits soucis, une journée d’absence, peu de roulage
-> difficile de se faire une idée pour Marussia qui n’a eu qu’un peu plus d’une journée d’essais, mais visiblement aucun souci
-> et pour finir, essais noirs pour Red Bull qui cumule les soucis, abrège chacune de ses séances, doit revoir la conception de la voiture avec une intégration du nouveau V6 turbo trop compacte qui provoque des surchauffes électriques

Niveau pilotes :
Que retenir de ces 4 jours du côté des pilotes ?
-> une bonne impression des rookies en général et de Kevin Magnussen en particulier
-> des temps qui ne veulent rien dire étant donné que les voitures ne tournaient pas à plein régime

 

Bilan des 4 journées d'essais à Jerez sur Fan-F1.com
Essais Jerez - Le bilan des quatre journées

 

À écouter et savourer sans modération...
Le SAV du bilan des essais privés de Jerez 2014

 

Présentation 2014                    Sommaire                    Lotus - Back To School

 

31 janvier 2014

Présentation 2014 - Une histoire de nez !

Petite galerie photo des voitures qui vont nous faire rêver - ou cauchemarder, au choix - cette saison..

Essais hivernaux de Jerez du 28 au 31 janvier 2014

Caterham CT05
La Caterham CT05

Ferrari F14T
La Ferrari F14-T

Force India VJM07
La Force India VJM07

Marussia MR03
La Marussia MR03

McLaren MP4-29
La McLaren MP4-29

Mercedes W05
La Mercedes W05

Red Bull RB10
La Red Bull RB10

Sauber C33
La Sauber C33

Toro Rosso STR9
La Toro Rosso STR9

Williams FW36
La Williams FW36


L'équipe Lotus étant absente lors des essais de Jerez, je posterai une photo de la E22 après les prochains essais à Bahreïn.

 

Essais hivernaux de Bahreïn du 19 au 22 février 2014

Lotus E22

La Lotus E22

 

GP d'Australie du 14 au 16 mars 2014

Williams FW36 - Australie

La livrée définitive de la Williams FW36

 

À écouter et savourer sans modération...
Le SAV qui élit Miss Monoplace 2014

 

Sommaire                                                  Essais hivernaux 2014 à Jerez

 

17 janvier 2014

Such a fool...

I miss him...

Même pas deux mois que la saison 2013 est terminée et qu’il a tiré sa révérence pour se tourner vers l’endurance. La saison 2014 n’est pas encore lancée, les nouvelles voitures pas encore révélées à nos yeux de fan, que déjà je ressens le manque de lui.
Une chanson comme un coup au cœur, celle qui me fait toujours penser à lui, à ce fantasme de lui que j’ai couché sur le papier... Je l’entends régulièrement, elle est dans ma sélection la plus écoutée sur mon ordi et passe donc souvent. Pourtant là c’était différent, au point de me donner l’envie irrépressible de regarder les photos de la saison dernière, ces photos qui couvrent tous les sentiments ressentis pour lui... et avec lui.

Les larmes qui coulent sur mes joues, sans raison. J’ai mal de son absence, c’est ridicule.

Excessive dans le moindre de mes sentiments, solitaire au point de vivre entourée de fantômes auxquels ma passion donne corps.
Le vide qui m’entoure est mon refuge... ma prison aussi. Pendant toutes ces années, il a comblé ce vide de son sourire, de son accent, de ses gestes, de sa présence tout simplement.
Aujourd’hui il continue d’exister dans un univers parallèle, laissant un vide immense derrière lui. Un vide que rien ni personne ne pourra combler. Un vide d’autant plus présent que ce qui l’entoure n’est que ténèbres et souffrance.
Il était mon rayon de soleil, la lueur dans mon obscurité, l’intensité de mes émotions exacerbées.

Insensée...

 

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3 janvier 2014

Espoir

Même si je ne suis qu’une goutte d’eau dans l’océan de pensées qui s’est manifesté depuis dimanche, mon espoir se mêle à celui de toutes les personnes qui pensent, qui prient, qui espèrent...

Dimanche 29 décembre 2013, en fin de matinée, Michael Schumacher a été victime d’un accident de ski. Transféré au CHU de Grenoble, il est depuis – 5 jours après cette nouvelle choquante et irréelle - toujours entre la vie et la mort.
L’annonce de l’information et la gravité de l’état de Schumi m’ont fait l’effet d’un coup de massue.
Si je n’ai jamais cru qu’un pilote de Formule 1, même un septuple champion du monde, pouvait être indestructible, la banalité même de l’accident a quelque chose d’absurde.
Je n’ai pas honte des larmes que j’ai versées, de la nuit d’insomnie qui a suivi, de la futilité de ma réaction en regard de tout ce qui se passe de grave dans le monde. La F1 est ma passion et l’un des moteurs de ma vie depuis une vingtaine d’années, ce qui touche les pilotes me touche moi.
J’ai vécu les débuts de Michael Schumacher, son immense talent, ses premiers titres, son pari Ferrari, son insupportable domination, son sacre d’une année sur l’autre, ses gestes parfois discutables, je l’ai aimé et haï, apprécié de nouveau à son retour tellement plus humain. Mais plus que tout, c’est sa passion que je retiens.
Aujourd’hui c’est son 45ème anniversaire.

*sanglots dans la voix*
Michael Schumacher ne peut pas mourir, hein ? Et surtout pas comme ça, pas déjà...

For Michael
Michael, puisse l’amour de tous ceux qui pensent à toi en ce jour et depuis dimanche
te donner la force de remporter ce combat...

 

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28 novembre 2013

Une page se tourne...

La fin d’une époque…

Comme elles me paraissent loin, les années où je suivais encore les courses de Formule 1 comme simple spectatrice occasionnelle, le dimanche après-midi. Les noms des pilotes m’étaient familiers parce qu’entendus régulièrement, mais j’aurais sans doute été bien en peine de poser un visage sur la plupart d'entre eux.
Vingt années se sont écoulées.
Vingt années qui ont vu défiler moins d’une dizaine de champions du monde.
Vingt années pendant lesquelles ma passion de la course automobile a grandi, s’est enrichie jusqu’à devenir envahissante… pour mon entourage essentiellement !
Aujourd’hui je navigue dans ces eaux avec une aisance qui me surprend parfois.
J’ai digéré des concepts techniques abscons avec une facilité déconcertante – surtout compte tenu de mes maigres connaissances en mécanique – j’ai vu défiler les changements de réglementations, les écuries qui apparaissent, changent de nom, disparaissent. Le plateau a évolué, s’est renouvelé, rajeuni… team managers, ingénieurs, pilotes surtout.
Les pilotes qui restent à mes yeux l’élément le plus important dans ce sport mécanique… le plus intéressant surtout, parce qu’incontrôlable, aléatoire.

Des coups de cœur sur la piste, j’en ai eu beaucoup au cours de ces 20 saisons. Évidemment. Je suis passionnée et excessive, je ne pouvais que m’emballer.
J’ai rarement aimé les plus populaires, ou les plus victorieux. Plutôt préféré les anticonformistes, les seconds couteaux. Pas toujours de manière rationnelle. Comme je l’ai écrit une fois « on ne choisit pas d'aimer un pilote - ou un sportif, un acteur, un chanteur, etc. - c'est comme tomber amoureux, ça nous prend par surprise sans explication rationnelle ».
Vivre une course en étant fan d’un pilote, c’est comme les pépites de chocolat sur un cookie, l’ingrédient essentiel pour en apprécier toute la saveur. Et j’ai pleinement savouré, surtout ces dernières années !
Les émotions que j’ai ressenties, l’excitation, la montée d’adrénaline à l’extinction des feux, l’euphorie, le désespoir, la peur parfois… Tout est tellement plus intense quand on se focalise sur un pilote. LE pilote. Celui que notre cœur a choisi. En dépit de tout ce qui se passe autour.
Un physique c’est vrai, mais avant tout un caractère. Une philosophie de la course. Agressif mais correct. Une grande gueule parfois, loin du moule formaté, loin du « corporate ». Un pilote à l’ancienne, comme on l’a entendu ici ou là.

Mark Webber Brésil

La fin d’une époque donc…
Il a choisi de prendre sa retraite de la F1 au bon moment. Il part au sommet. Je n’aurais pas supporté de le voir se faire mettre à la porte comme certains, ou s’accrocher à des miettes comme d’autres.
Il n’a pas à rougir de sa carrière, de son palmarès. C’est un grand pilote. MON pilote. Pendant douze années de bonheur.
Et je suis reconnaissante à son écrasant coéquipier de ne pas lui avoir fait l’aumône d’une victoire dans sa dernière course. Une seconde place méritée, arrachée sur la piste, vaut mieux que toutes les victoires tronquées, truquées ! Il n’avait pas besoin de ça. Il vaut mieux que ça.
Il quitte la F1 pour l’endurance. L’année prochaine il courra sans doute plus près de chez moi qu’il ne l’a jamais été. Les 24h du Mans.
Il me manquera, il me manque déjà. Il manquera aussi au petit monde de la Formule 1.

La saison prochaine sera différente, pas seulement à cause de la nouvelle motorisation. Ce sera ma première saison libre, sans attache, « sans pilote fixe ».
Oh, j’aurai sans doute encore des favoris, mais avec son départ se tourne la page de cet enthousiasme délirant et incontrôlable devant mon écran de télévision.
Alors oui, il y a une part de moi qui est en deuil, qui pleure sincèrement la fin de cette époque. Mais la vie continue. La F1 continue, exaltante malgré tout.
La reprise du championnat sera dure, je chercherai sans doute son casque, par habitude. Il y aura ce pincement au cœur à ce premier départ sans lui. Mais le départ sera donné quand même et je suivrai le mouvement, par habitude… un peu par nécessité aussi, une nécessité vitale pour moi, pour la fan que je suis depuis toutes ces années. Même le passage sur une chaîne payante n’a pas refroidi mes ardeurs !

See you in 2014…

 

GP du Brésil 2013                                                  Sommaire

 

24 novembre 2013

GP du Brésil 2013

Et bien voilà, ça y est c’est fini…

Que retenir de cette 19ème et dernière course de la saison 2013 ?
-> Seb… un nom qui se suffit à lui-même
-> un podium avec les 3 premiers au classement final du championnat, dans le désordre
-> une McLaren à la 4ème place… si si c’est vrai, juré !
-> des pénalités qui finissent par s’équilibrer - désolée Felipe
-> un panache de fumée pour Romain, dont le moteur était pressé de partir en vacances
Et inoubliable, un dernier tour cheveux au vent pour Mark Webber, qui quitte la F1 douché au champagne… en se vautrant sur le podium.

J’aimerais dire que je n’ai pas pleuré au départ, à ces gros plans sur son casque en course, à ce message radio à l’amorce du dernier tour, au passage du drapeau à damier, à ces images où il enlève casque et cagoule au volant, à son arrivée au parc fermé, à la dernière accolade avec Fernando, à la douche de champagne qu’il savoure les yeux fermés, au message d’adieu sur le podium… mais je mentirais.
Ce soir, une page se tourne pour moi…
Merci Mark ♥

 

Résumé de la course et classement final sur Fan-F1.com
Brésil - Course : Vettel et Webber, des donuts et un adieu !

 

Et un dernier petit plaisir personnel pour les anglophones, avec les dernières communications radio entre Mark Webber et son équipe...
Horner : "One more lap, Mark, enjoy it"
Webber : "Yes, last lap, boys, thank you"

Horner to Webber : "Well done, mate. You've had a fantastic career. It's been brilliant working with you. You can be proud of everything you've done because we certainly are, well done."
To Webber : "Nice job mate. Absolutely brilliant. I know we made it pretty difficult for you, but was a very good drive"

Tête nue


Et parce que je ne pouvais pas ne pas le partager, voici le texte publié sur le site officiel de Mark Webber à l'issue de la course, ainsi que sur celui de l'équipe, et relayé sur les réseaux sociaux.
“It was nice to take the helmet off for the final lap. In this sport it’s not always possible to give things a personal touch. We have the helmets on all the time, so the fans don’t always see a Formula One driver in a car without a helmet. It was nice to get it off and see the marshals and the fans; it was just a really nice thing to experience. I heard a lot of noises that I don’t normally hear. The difficult part for me today was actually getting in to the car for the final time. I was overcome with some emotion then to be honest. That moment of the helmet going on and stepping into the car was actually the strongest emotion I’ve had all day. Then crossing the line and seeing all the guys was great. Christian radioed me and said enjoy the last lap, which I did. I did it as slow as I could; it was a very special day. Seb and I have had our challenges over time and it’s easier to have a relationship with Fernando, as he’s in another team, but to finish on the podium with those two guys – well they have been the best of this generation. I have raced them a lot and to finish with those guys was nice for me because it meant a lot, showing that I can drive well at the end of my career and that I got the timing right. Formula One is a sport which I’ve loved. I could never have dreamt of the career that I’ve had, the tremendous highs, the tough lows – you know they have to happen and you learn from adversity. The biggest and strongest memories you have are from when you are in the car; it’s what we were tuned and trained to do. Driving on the limit is what I was paid to do and what I enjoyed doing. They are the strongest memories you have as an individual at this level.”

 

GP des Etats-Unis 2013                    Sommaire                    Une page se tourne...

 

17 novembre 2013

GP des Etats-Unis 2013

Que retenir de ce GP des Etats-Unis, avant-dernière course de la saison ? Finalement pas grand-chose de neuf sous le soleil texan…

-> 8ème victoire d’affilée pour Seb, toujours aussi dominateur… mais difficile de ne pas admirer son talent et la maturité dont il fait preuve dans ses communications radio d’après course
-> superbe 2ème place de Romain Grosjean, son meilleur résultat de la saison, pris en sandwich entre les 2 Red Bull - il est sans conteste le meilleur pilote derrière Seb en cette fin de saison
-> Alonso et Hülkenberg qui ne se lâchent plus depuis quelques courses - un coup ça passe, un coup ça ne passe pas ! lol
-> les premiers points de Bottas, largement mérités ce week-end
Et puis c’est tout !

Quant à mon australien, 2ème sur la grille et 3ème à l’arrivée, j’en suis au point de simplement me réjouir de le voir sur le podium, visiblement souriant.
Plus qu’une course…

 

Résumé de la course et classement final sur Fan-F1.com
Etats-Unis - Course : Vettel offre ses donuts au peuple américain

 

Et encore un petit plaisir personnel anglophone avec les communications radio d'après course entre Seb, Rocky (son ingénieur) et C. Horner...
Horner : "Fantastic Seb, record breaking in a season, unbelievable, especially those guys in turn 1"
Rocky : "Good job mate, very tidy"
Seb : "Speechless, I'm speechless. We have to remember these days, we have to remember these days. There's no guarantee they will last forever. Enjoy them as lo,ng as they last. I love you guys! We have an incredible team spirit. Incredible, I'm so proud of you. YES! SHAKE AND BAKE!"
Rocky about Seb's donuts : "I thought you could write your name?"
Horner : "8 in a season Seb, that's uh a record in itself, so umm, so you know the only one that's won more in a row than you is Ascari, but I guess you already knew that"

 

GP d'Abou Dhabi 2013                    Sommaire                    GP du Brésil 2013

 

3 novembre 2013

GP d'Abu Dhabi 2013

Petit retour en arrière, samedi 2 novembre après les qualifications..
Oh my god, oh my god, oh my god !!!
Il l'a fait, il l'a vraiment fait, une vraie belle pole à la régulière, sans incident pour Seb... juste à la mesure de son talent !

Merci pour ce moment de pur bonheur explosif devant mon écran ♥
I'm just gonna miss you so much next year...

 

Mieux vaut tard que jamais ! lol

Ce que je retiendrai du GP d'Abu Dhabi 2013...
-> Seb qui évolue vraiment dans une autre dimension que le commun des mortels... enfin des pilotes
Et puis finalement, pas grand-chose d'autre !

En vrac, parce qu'il faut bien trouver quelque chose :
-> Kimi qui aurait peut-être finalement mieux fait de s'en tenir à sa 1ère idée de ne pas venir, vu le résultat
-> Lewis Hamilton incapable de dépasser des voitures « moins rapides » pendant la majorité de la course
-> Felipe Massa qui fait un pied de nez à ses anciennes consignes d'équipe
-> Nico Hülkenberg et JEV qui auraient mérité de terminer dans les points

Plus que 2 courses... en espérant que les rumeurs du paddock s'infirment.

 

Résumé de la course et classement final sur Fan-F1.com
Abu Dhabi - Course : Vettel ridiculise la concurrence

 

Un  petit régal pour les anglophones, les communications radio entre Seb, Rocky (son ingénieur) et C. Horner à l'issue de la course...
Seb : "WOOOHOOO, YES! Guys, car was absolutely wonderful, I don't know what you've done, ahhhh, it was really really good, thank you! You don't get to race cars like this too often, I love you guys. YES! Yes, we gave everything we had"
Rocky : "Ah, you did your job, mate. You did your job, well done"
Seb : "Happier now?"
Rocky about Seb's donuts : "Yeah, I've counted now, that's 125,000 dollars"
Horner : "And by the way, you can pay that one"
Rocky : "And Sebastian, you do need to bring the car back, OK? Bring the car back into the pit lane, please! OK, Sebastian, sorry to be on your case, but to be clear, you do need to bring it home, OK, in the garage"
Seb : "Ahhh, let me quote, Yeah, Yeah, Yeah, Yeah, guys, I know what I'm doing"
Rocky : "Yeah, I've got evidence to the contrary"

Merci pour le spectacle, pour le clin d'œil aux commissaires du GP d'Inde et à la FIA... et pour une célèbre citation de Kimi ! lol

 

GP d'Inde 2013                    Sommaire                    GP des Etats-Unis 2013

 

27 octobre 2013

GP d'Inde 2013

Après avoir noyé mon énième désillusion sous la douche, me voilà prête à analyser cette course de manière objective - ou presque ! lol

Ce que je retiendrai du GP d'Inde 2013...
-> 6ème victoire d'affilée pour Seb et 4ème titre consécutif pour Red Bull et lui - s'il y a bien une équipe à qui la trêve estivale a été profitable, c'est eux !
-> Nico Rosberg gentiment devant Hamilton, à l'issue d'une course « à la Rosberg »
-> montée en confiance de Romain Grosjean qui grimpe pour la 3ème fois de suite sur la 3ème marche du podium, avec un gain de 13 places depuis sa position de départ - une stratégie à un arrêt magnifiquement réalisée
-> Sergio Pérez pour son superbe double dépassement et la stratégie qui marche aussi pour lui
-> Fernando Alonso et Ferrari qui s'effondrent, en course comme au championnat - pourquoi je vois un divorce se profiler à l'horizon ?
-> et surtout, surtout l'abandon de Mark... je ne les compte plus cette saison, les ennuis divers et variés dont il a été victime - et non je ne crois pas à la théorie du complot, même si des fois, ce serait vaguement réconfortant

Dans mes inoubliables, les communications radio entre Mark et son ingénieur à l'issue du 39ème tour, urgence et incrédulité se télescopant avant l'arrêt définitif de la Red Bull n°2.
Plus que 3 courses...

 

Résumé de la course et classement final sur Fan-F1.com
Inde - Course : Sebastian Vettel puissance 4

 

Pour mon « plaisir » personnel...
"Stop the car mate, stop the car now!"
"You said I stop the car?"
"Yes stop the car, stop the car! Just find a safe place..."

 

Hommage du cœur de la fan...               Sommaire               GP d'Abu Dhabi 2013

 

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