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Chez Sylvania
31 janvier 2016

Kill Bill : Volume 1

Kill Bill - Volume 1

     Kill Bill : Volume 1

 

sorti en 2003 
Genre : action, thriller 
durée : 1h 52 min 

Réalisateur : Quentin Tarantino
Avec : Uma Thurman, Lucy Liu, Vivica A. Fox, David Carradine, Sonny Chiba

 

Synopsis
Au cours d'une cérémonie de mariage en plein désert, un commando fait irruption dans la chapelle et tire sur les convives. Laissée pour morte, la Mariée enceinte retrouve ses esprits après un coma de quatre ans.
Celle qui a auparavant exercé les fonctions de tueuse à gages au sein du Détachement International des Vipères Assassines n'a alors plus qu'une seule idée en tête : venger la mort de ses proches en éliminant tous les membres de l'organisation criminelle, dont leur chef Bill qu'elle se réserve pour la fin.

 

Mes impressions
Ce que j'ai aimé ?
La narration non linéaire, se perdre dans les passés pour mieux se retrouver au présent. La découpe en chapitres. Le mélange des styles, du western au manga japonais en passant par les films d'arts martiaux. La vengeance en leitmotiv. Le rythme qui entraîne, les cadrages énergiques. Le noir et blanc qui s'invite pour contourner la censure mais fait oublier ce détail. Sanglant mais pas que. Les questions forcément encore sans réponse, dans l'attente de la suite.

Allez, le Volume 2 au programme dès demain !

 

Sommaire                                        Kill Bill : Volume 2

 

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30 janvier 2016

Dodes'Kaden

Dodes'Kaden

     Dodes'Kaden

 

sorti en 1970 
Genre : drame 
durée : 2h 20 min 
Dodesukaden 

Réalisateur : Akira Kurosawa 
Avec : Yoshitaka Zuschi 
Musique : Tōru Takemitsu 

 

Synopsis
Dans un bidonville : un clochard et son fils, une jeune fille qui fabrique des fleurs artificielles... et Rokkuchan, un jeune garçon qui, pour s'évader d'un quotidien sinistre, s'imagine aux commandes d'un tramway. Autant d'exclus, de déclassés et de rêveurs, dont les destins vont peu à peu se croiser...

 

Mes impressions
Ma culture cinématographique a beau ne pas être très étendue, le nom d'Akira Kurosawa ne m'est pas inconnu. Alors quand l'occasion d'élargir mes connaissances se présente, ça ne se refuse pas !

Ce que j'ai aimé ?
Cette galerie de portraits décalés, ces destins qui se croisent et s'entrecroisent dans un bidonville. Les effets visuels et sonores qui nous entraînent dans l'univers du réalisateur, de ses personnages - les bruits du tramway, la maison imaginée qui se construit... La diversité des thèmes abordés. La folie douce, l'extrême pauvreté, l'inceste, la vie de couple à géométrie variable, l'absence et la quête du pardon, la mort...
Les couleurs vives. La poésie.

J'ai aimé, beaucoup aimé.

 

Sommaire

 

27 janvier 2016

Il est difficile d'être un dieu

Il est difficile d'être un dieu

     Il est difficile d'être un dieu

 

sorti en 2014 
Genre : science-fiction historique 
durée : 2h 57 min
Trudno byt' bogom

Réalisateur : Alexeï Guerman
Avec : Leonid Iarmolnik

 

Synopsis
Un groupe de scientifiques est envoyé sur Arkanar, une planète placée sous le joug d’un régime tyrannique à une époque qui ressemble étrangement au Moyen-Âge. Tandis que les intellectuels et les artistes sont persécutés, les chercheurs ont pour mot d’ordre de ne pas infléchir le cours politique et historique des événements. Le mystérieux Don Rumata à qui le peuple prête des facultés divines, va déclencher une guerre pour sauver quelques hommes du sort qui leur est réservé…

 

Mes impressions
Soyons honnête, je n'aurais jamais eu l'idée de découvrir/m'imposer (au choix, barrer la mention inutile lol) ce film russe en noir et blanc sous-titré de près de 3 heures si une certaine personne de ma connaissance n'avait pas lancé un nouveau podcast...
Après, personne ne m'a forcée à le regarder, c'est de ma propre volonté que j'ai décidé de jouer le jeu. Et dans le fond, je ne le regrette pas, même si oui, je l'avoue, aller jusqu'au bout a été laborieux, parfois à la limite de la torture mentale ! lol

Difficile de commencer mes impressions par ma phrase habituelle...
Donc... Ce que j'en ai pensé ?
Un film qui ne laisse pas indifférent. Plus qu'immersif, ce n'est pas le spectateur qui plonge dans l'univers du film, c'est cet univers qui s'invite autour de nous, qui s'impose à nous, qu'on le veuille ou non. Les sensations, les odeurs. La bestialité, la crasse, la boue, la merde... Je ne suis pas vulgaire, c'est vraiment l'impression ressentie.
Un film qu'on ne peut regarder en spectateur passif. On s'interroge sans cesse. Pourquoi ? Comment ? Un sens derrière les paroles qui n'ont aucun sens ? Ces mouchoirs d'une blancheur immaculée au milieu de toute cette saleté repoussante, comme une offrande de pureté. Cet homme qui n'est pas un dieu mais qui déambule au milieu des inférieurs, amateur de jazz dans un monde dans lequel les arts sont bannis.
Cette envie d'aller jusqu'au bout pour comprendre... tenter de trouver une explication, une raison derrière ces images. Se demander ce que le réalisateur a voulu nous transmettre. Et pourquoi de cette manière.
Ces gros plans au cadrage irréel. Ces plans séquences longs, très longs, tellement longs. La caméra comme un interlocuteur. La mort au rendez-vous. Le glauque et parfois l'humour inattendu - cette scène avec la ceinture de chasteté ! Les questions sans réponses.

Envie d'en savoir plus ? Au-delà de la Bande-Annonce Mystère #1
LE podcast à ne pas rater, à écouter et savourer sans aucune modération !

 

Sommaire

 

24 janvier 2016

Contact

Contact

     Contact

 

sorti en 1997 
Genre : science-fiction 
durée : 2h 33 min

Réalisateur : Robert Zemeckis 
Avec : Jodie Foster, Matthew McConaughey, Tom Skerritt

 

Synopsis
Ellie Arroway, passionnée depuis sa plus tendre enfance par l'univers, est devenue une jeune et brillante astronome. Avec une petite équipe de chercheurs elle écoute le ciel et guette un signe d'intelligence extraterrestre. Un jour, ils captent un message.

 

Mes impressions
Ce que j'ai aimé ?
De la science-fiction très proche de nous, comme une possibilité qui nous effleure. Cette quête d'une vie extraterrestre, ou cet espoir. Cette interrogation qui m'a accompagnée de savoir quand se terminerait le film... Juste après le premier contact sonore et visuel ? Avant la première tentative de départ ? Après le premier contact "réel" ? Toujours un peu plus loin...
Les émotions et la claque dans la gueule du tunnel interstellaire. Les retours dans le passé d'Ellie. Son caractère qui lui fait reconnaître qu'elle ne dispose d'aucune preuve malgré sa conviction profonde.
Un très très bon moment.

 

Sommaire

 

20 janvier 2016

Le petit Nicolas a des ennuis

Petit Nicolas 5 - Le petit Nicolas a des ennuis

Le petit Nicolas a des ennuis
                    René GOSCINNY & Jean-Jacques SEMPÉ

 

sorti en 1964 
180 pages 
Genre : jeunesse 

 

4ème de couverture
« Nicolas est de retour pour nous raconter de nouveaux épisodes de sa vie agitée de petit garçon actif. Il est entouré non seulement de Joachim, un copain, mais de tous les autres : Alceste, le gros qui mange tout le temps des choses, Eudes, qui aime bien donner des coups de poing sur le nez des copains, Rufus, qui a un papa agent de police qui lui cède ses vieux sifflets à roulette, Maixent, qui a des jambes très longues avec de gros genoux sales, Clotaire, qui est le dernier de la classe, mais qui a un vélo et Agnan, le chouchou. Ils sont tous là, amis fidèles et éprouvés, avec lesquels on peut se battre sans arrière-pensée, tout en se jurant presque quotidiennement de ne plus se parler de toute la vie. » 
Texte de présentation de René Goscinny.

 

Extraits (première et dernière phrase)
Recueil de 16 histoires courtes, de quelques pages chacune, magnifiquement illustrées par Sempé. Indépendantes les unes des autres formant un ensemble qui se lit aussi bien dans l'ordre que dans un désordre digne des bêtises du héros de ces histoires.
J'ai choisi de noter la première et dernière phrase de l'ouvrage entier, comme s'il s'agissait d'une seule et unique histoire, comme des tranches d'une seule et même vie d'enfant.

Joachim n'est pas venu hier à l'école et il est arrivé en retard aujourd'hui, l'air très embêté, et nous on a été très étonnés.

Et comme on n'avait plus de craie, on est rentrés chacun chez soi.

 

Mes impressions
Rien de plus à ajouter par rapport aux précédents recueils des mésaventures pleines d'humour et de tendresse du petit Nicolas.

 

Le petit Nicolas et les copains               Sommaire              La rentrée du petit Nicolas

 

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19 janvier 2016

Kill the Boy

Saison 5 - épisode 5

Résumé
Sansa découvre peu à peu la vraie nature de Ramsay Bolton en croisant Theon Greyjoy, réduit à l'état d'esclave.
Au Mur, Jon s'apprête à prendre une décision qui va profondément diviser la Garde de Nuit. Stannis et son armée partent pour Winterfell affronter les Bolton.
Désormais sans conseiller après la mort de Barristan Selmy, Daenerys abandonne la stratégie pacifique et menace les chefs des huit familles nobles de Meereen, avant de changer d'avis.
Tyrion découvre que Jorah veut rejoindre Meereen par les ruines de Valyria, encore touchées par le Fléau, une léprose qui change les malades en Hommes de pierre.

 

Mes commentaires
Un peu moins de dispersion géographique dans cet épisode, ce qui devrait favoriser la progression de l’histoire. Devrait… Sauf que si j’apprécie de m’attarder plus longuement à Meereen, Châteaunoir ou Winterfell, je n’ai pas l’impression que ça favorise l’action. Plutôt les discussions qui tournent en rond.
Au secours, la saison 5 se traîne en longueur !

Sur le Mur, Jon Snow goûte aux bonheurs du commandement. Pas facile de prendre une décision impopulaire, même quand on la croit juste. Même quand on sait qu’il s’agit de la seule alternative. Parce qu’un commandant voit plus loin que les conséquences immédiates ou les futiles revanches contre les ennemis de toujours. Il a raison, il est vital de trouver des alliés pour faire face, bientôt, aux Marcheurs blancs – enfin, s’ils arrivent un jour, parce que depuis le temps que la menace est proche, ils devraient avoir atteint le Mur ! Se seraient-ils perdus en route ?  Winter is coming depuis un moment maintenant…
Négociations avec Tormund, liberté et des terres pour les Sauvageons au sud du Mur en échange de leur présence aux côté de la Garde de Nuit quand viendront les Marcheurs blancs. Départ de Stannis Baratheon et de son armée – y compris les femmes – vers Winterfell pour reprendre le Nord aux Bolton.
J’aime ce moment où Jon remercie Stannis. Pour son arrivée opportune sur le champ de bataille ? Pour son aide dans sa tentative de s’allier les Sauvageons ? Pour aller libérer le berceau de son enfance du joug de ceux qui ont tué son frère ? Sans doute un peu tout ça malgré son refus de l’accompagner sur le champ de bataille…
Petit détail qui aura sans doute son importance, Sam est encouragé par Stannis à continuer ses recherches sur le moyen de vaincre les Marcheurs blancs – les lames d’obsidienne entre autre, comme il l’a fait lui-même.

À Winterfell, tandis que Brienne et Podrick élisent domicile dans une auberge à proximité du château et font passer un message à Sansa, cette dernière tombe, pas vraiment par hasard, sur l’être pitoyable qu’est devenu Theon Greyjoy, suite aux bons soins de Ramsay Bolton. De quoi lui ouvrir les yeux sur la nature charmante de son futur époux. Enfin j’espère, parce que si elle a conservé sa naïveté en côtoyant Petyr Baelish, c’est à désespérer ! Mais j’en doute. Je ne sais pas si c’est sa nouvelle couleur de cheveux, ses tenues plus sombres, ce collier qu’elle arbore, sa manière de se tenir ou son visage plus fermé, je trouve qu’elle a perdu ce côté enfantin qui me faisait trembler pour elle… et me donnait envie de la secouer pour lui ouvrir les yeux sur la réalité de ce qui l’entourait ! N’empêche que j’ai du mal à l’imaginer de taille pour tenir tête à ce petit pervers sadique de Ramsay.
D’ailleurs, c’est amusant de voir ce petit tyran trembler devant la possibilité que son père ait un fils, légitime celui-là, qui prendrait sa place d’héritier. Tout le monde a ses faiblesses.
Sinon, juste au passage, Ramsay oblige Theon à présenter ses excuses à Sansa pour avoir assassiné ses deux jeunes frères – ce que concrètement il n’a pas fait, ce que Ramsay sait parfaitement. Et soudain je réalise que ça fait un moment qu’on n’a pas eu de nouvelles de Bran et encore plus de Rickon. Ils deviennent quoi ? Ils sont subitement inintéressants pour l’histoire ?

Petite devinette…
Jorah Mormont et Tyrion Lannister sont dans un bateau, au milieu des ruines de Valyria la maudite. Tyrion tombe à l’eau. Que reste-t-il ? Un Jorah contaminé par un Homme de pierre, bien décidé à mener son captif libéré à Daenerys…
Oui c’est nul, mais c’est tout ce que je trouve à dire sur ces scènes. Ah si, Valyria devait être une cité magnifique, survolée par les dragons. Ça me fait penser aux ruines de la Terre du Milieu dans « Le Seigneur des Anneaux ».

Je m’y perds un peu dans le comportement de Daenerys…
Alors qu’elle refuse depuis des jours de plier face aux revendications de rouvrir les arènes de combat, allant jusqu’à menacer les chefs des plus puissantes familles de Meereen de finir comme casse-croûte calciné pour dragons s’ils ne lui livrent pas les Fils de la Harpie, elle cède soudain. Et si je conçois le respect des traditions de la ville pour renouer les liens avec le peuple – avec ses conditions à elle, quand même – j’ai un peu plus de mal à voir d’où sort son projet d’épouser Hizdahr zo Loraq !
C’est la mort de son fidèle conseiller qui la mène sur ce chemin ? Les réflexions de Missandei ? Pourquoi un mariage ? Dans quel but ? Alors qu’elle est si farouchement fière de son pouvoir de femme. De Mère des dragons. De Khaleesi qui a libéré les esclaves. Pourquoi, Daenerys ?

 

Game of Thrones - Sommaire
The Sons of the Harpy (S5 E4)                         Unbowed, Unbent, Unbroken (S5 E6)

 

18 janvier 2016

Le petit Nicolas et les copains

Petit Nicolas 4 - Le petit Nicolas et les copains

Le petit Nicolas et les copains
                    René GOSCINNY & Jean-Jacques SEMPÉ

 

sorti en 1963 
156 pages 
Genre : jeunesse 

 

4ème de couverture
« Nicolas retrouve tout le chouette gros tas de copains, cher à son cœur, composé par des individus à fortes personnalités qui ont nom : Alceste, Geoffroy, Rufus, Eudes, Clotaire, Maixent, Joachim et même ce sale chouchou d'Agnan. Tous ensemble, ils apprendront les leçons passionnantes de la vie, à commencer par la plus importante : il est inutile d'essayer d'être le premier de la classe, si on ne porte pas de lunettes !
Mais... il y a aussi quelqu'un qui les remplit de timidité et de confusion. C'est Marie-Edwige Courteplaque, la petite voisine de Nicolas, qui est toute rose, avec des cheveux jaunes, des yeux bleus, une robe faite dans le même genre de tissu que celui des rideaux du salon, et qui est si chouette, même si c'est une fille ! »
Texte de présentation de René Goscinny.

 

Extraits (première et dernière phrase du roman)
Recueil de 16 histoires courtes, de quelques pages chacune, magnifiquement illustrées par Sempé. Indépendantes les unes des autres formant un ensemble qui se lit aussi bien dans l'ordre que dans un désordre digne des bêtises du héros de ces histoires.
J'ai choisi de noter la première et dernière phrase de l'ouvrage entier, comme s'il s'agissait d'une seule et unique histoire, comme des tranches d'une seule et même vie d'enfant.

Quand Clotaire est arrivé à l'école, ce matin, nous avons été drôlement étonnés, parce qu'il avait des lunettes sur la figure.

Papa a rigolé, et le soir même il m'a emmené voir un film plein de cow-boys qui se tapaient dessus et qui tiraient des tas de coups de revolver.

 

Mes impressions
Rien de plus à ajouter par rapport aux précédents recueils des mésaventures pleines d'humour et de tendresse du petit Nicolas.

 

Les vacances du petit Nicolas          Sommaire         Le petit Nicolas a des ennuis

 

17 janvier 2016

Harry Potter et le Prince de sang-mêlé

Harry Potter et le Prince de Sang-mêlé

     Harry Potter et le Prince de sang-mêlé

 

Sorti en 2009 
Genre : fantastique 
durée : 2h 32 min
Harry Potter and the Half-Blood Prince

Réalisateur : David Yates
Avec : Daniel Radcliffe, Emma Watson, Rupert Grint, Robbie Coltrane, Michael Gambon, Maggie Smith, Alan Rickman, Tom Felton, Bonnie Wright

 

Synopsis
L'étau démoniaque de Voldemort se resserre sur l'univers des Moldus et le monde de la sorcellerie. Poudlard a cessé d'être un havre de paix, le danger rode au coeur du château... Mais Dumbledore est plus décidé que jamais à préparer Harry à son combat final, désormais imminent. Ensemble, le vieux maître et le jeune sorcier vont tenter de percer à jour les défenses de Voldemort. Pour les aider dans cette délicate entreprise, Dumbledore va relancer et manipuler son ancien collègue, le Professeur Horace Slughorn, qu'il croit en possession d'informations vitales sur le jeune Voldemort. Mais un autre "mal" hante cette année les étudiants : le démon de l'adolescence ! Harry est de plus en plus attiré par Ginny, qui ne laisse pas indifférent son rival, Dean Thomas ; Lavande Brown a jeté son dévolu sur Ron, mais oublié le pouvoir "magique" des chocolats de Romilda Vane ; Hermione, rongée par la jalousie, a décidé de cacher ses sentiments, vaille que vaille. L'amour est dans tous les coeurs - sauf un. Car un étudiant reste étrangement sourd à son appel. Dans l'ombre, il poursuit avec acharnement un but aussi mystérieux qu'inquiétant... jusqu'à l'inévitable tragédie qui bouleversera à jamais Poudlard...

 

Mes impressions
Pour changer, je commence avec les différences entre le livre et le film, celles qui me dérangent...
L'absence totale des cours de cette sixième année à Poudlard. Les souvenirs de Voldemort réduits au premier et au dernier alors que tous sont importants pour comprendre sa personnalité. Les relations amoureuses beaucoup moins subtiles - je préfère l'évolution des sentiments de Harry pour Ginny dans le livre, et leur premier baiser aussi... sans parler des sentiments d'Hermione pour Ron qui ne sont que sous-entendus dans le roman. Les doutes sur le fait que Malefoy ait remplacé son père comme Mangemort, et ses agissements mystérieux, disparus devant ses tentatives sur l'armoire à disparaître très présents. Cette impression que Harry n'est pas sanctionné après l'utilisation du sortilège sur Drago. Les obsèques de Dumbledore passées à la trappe, un gros manque.
J'en oublie sûrement...

Mais du côté de ce que j'ai aimé ?
Un film avec des scènes qui donnent l'impression d'être en noir et blanc, j'aime ce contraste. L'émotion à la mort de Dumbledore - oui je coule ma petite larme à chaque fois. Les effets spéciaux qui nous emportent dans le passé, comme de l'encre qui se dilue. L'histoire dans laquelle on se projette tout en la connaissant à l'avance - quand on a lu les romans.
Dans l'ensemble une très belle réalisation, sombre et sobre.

 

Sommaire
Harry Potter et l'Ordre du Phénix                                             
                                       Harry Potter et les Reliques de la mort - Partie 1

 

16 janvier 2016

Les vacances du petit Nicolas

Petit Nicolas 3 - Les vacances du petit Nicolas

Les vacances du petit Nicolas
                    René GOSCINNY & Jean-Jacques SEMPÉ

 

sorti en 1962 
180 pages 
Genre : jeunesse

 

4ème de couverture
« Pour un enfant, il y a deux façons de partir en vacances : avec ses parents, et quand les parents ont compris, sans ses parents. Les auteurs se sont attachés à étudier les deux cas.
C'est ainsi que nous connaîtrons tout d'abord les séductions qu'offre l'hôtel Beau Rivage ; sa vue sur la mer, son ambiance familiale, sa nourriture saine et abondante, sa position privilégiée à quelques pas de l'arrêt de car qui vous conduira à la magnifique plage de galets et de sable fin.
Ensuite, Nicolas nous entraînera dans la colonie de vacances, où il nous fera partager toutes les joies de la vie dans la nature, dans le cadre de la discipline librement interprétée. »
Texte de présentation de René Goscinny.

 

Extraits (première et dernière phrase du roman)
Recueil de 18 histoires courtes, de quelques pages chacune, magnifiquement illustrées par Sempé. Indépendantes les unes des autres formant un ensemble qui se lit aussi bien dans l'ordre que dans un désordre digne des bêtises du héros de ces histoires.
J'ai choisi de noter la première et dernière phrase de l'ouvrage entier, comme s'il s'agissait d'une seule et unique histoire, comme des tranches d'une seule et même vie d'enfant.

Une studieuse année scolaire s'est terminée.

Et puis son Jeannot, c'est un imbécile et un laid !

 

Mes impressions
Pas grand-chose de plus à ajouter par rapport aux précédents recueils des mésaventures du petit Nicolas, si ce n'est une nouvelle galerie de portaits haute en couleur.

 

Les récrés du petit Nicolas               Sommaire               Le petit Nicolas et les copains

 

 

16 janvier 2016

The Sons of the Harpy

Saison 5 - épisode 4

Résumé
Cersei prépare sa revanche sur Margaery en permettant la création d'une nouvelle Foi Militante, une milice de croyants qui vont jusqu'à arrêter Loras Tyrell pour son homosexualité. Cersei rappelle également Petyr Baelish à Port-Réal et celui-ci doit laisser Sansa à Winterfell, mais il compte sur elle pour prendre l'ascendant sur les Bolton en attendant Stannis, toujours sur le Mur.
Jaime et Bronn rejoignent discrètement la côte de Dorne, mais ils sont trahis par le capitaine du navire qui révèle leur arrivée à Ellaria Sand et aux filles d'Oberyn.
Jorah et Tyrion font route vers Meereen, où le gouvernement de Daenerys reste sous la menace des Fils de la Harpie et d'un nouveau guet-apens contre un groupe d'Immaculés.

 

Mes commentaires
Un épisode qui me donne l’impression, une fois de plus, de faire du sur place. Concrètement il ne se passe pas grand-chose et on n’apprend pas grand-chose non plus.
Je pourrais résumer les faits importants en quelques mots, ça va être rapide pour les commentaires !

Version courte…
Jorah Mormont et Tyrion dans un bateau à destination de Meereen – rien d’important.
L’arrivée « discrète » de Jaime et Bronn près de Dorne connue d’Ellaria Sand et des filles d’Oberyn, confrontation à prévoir – surprenant, tiens…
Cersei permet la création d’une milice armée au nom des dieux, arrestation de Loras Tyrell et première tension entre le roi Tommen et sa reine – la contre-attaque de Cersei à l’offensive de Margaery pour l’éloigner du pouvoir.
Jon Snow fidèle à lui-même et ses vœux face à Melisandre et ses charmes.
Sansa face à son destin selon Petyr Baelish – à la tête du Nord, libérée par Stannis Baratheon ou en manœuvrant les Bolton.
Nouvelle offensive des Fils de la Harpie contre les Immaculés et le pouvoir de Daenerys – Ver-Gris et Barristan Selmy encore en vie ?

Version longue ?
J’ai beau ne pas l’aimer, je suis admirative devant la réaction de Cersei face à la tentative de Margaery (et Tommen) pour l’éloigner de Port-Réal et du pouvoir. Quelle subtilité pour mettre fin à la lune de miel entre son fils et sa reine ! Recréer une milice armée au nom des dieux et suggérer, à mots couverts, qu’un grand pêcheur se dissimule à la cour pour faire arrêter Loras Tyrell, le frère homosexuel de Margaery – et accessoirement le fiancé que lui avait imposé son père.
N’empêche, je reste sceptique devant le comportement de cette Foi Militante. Violence et intolérance sont ses maîtres mots. Tout ça pour une vengeance féminine… Parce que sérieux, si la milice venait à apprendre la vérité sur l’hérédité de leur roi, je doute que Cersei conserverait longtemps sa position, elle ne tarderait pas à rejoindre Loras Tyrell dans les cachots de Port-Réal !
Quant à Tommen, entre le refus qu’on lui oppose de voir le Grand Moineau et les réactions hostiles de la foule à son égard, il ne se montre pas à son avantage. On ne peut pas dire qu’il fasse preuve d’un comportement royal à cette occasion. Un pouvoir faible dans les mains d’un adolescent fragile et influençable.

Je n’aime pas beaucoup la manière dont Melisandre insiste sur le sang royal qui coule dans les veines de Shireen, la fille de Stannis Baratheon. Ni sur l’amour évident d’un père pour sa fille. J’ai encore en mémoire les mots que la prêtresse a prononcés sur les sacrifices à consentir pour accéder au Trône de Fer. Je ne peux m’empêcher de voir un sacrifice mortel dans l’avenir de la petite fille…
Quand au comportement de Jon Snow face à Melisandre, il est fidèle à lui-même. Ses vœux, ses engagements sont au centre de sa vie. Ils dirigent ses choix, son attitude. Et même dans son amour pour Ygrid, sa plus grande entorse à ses promesses, il reste fidèle. C’en est presque lassant, tant de grandeur chez un homme, mais comment ne pas aimer Jon ? Il est le gentil, le héros qui se sacrifie pour les autres.

Nouvelle version un peu plus exhaustive sur Lyanna Stark, la tante de Sansa et promise de Robert Baratheon, celle par qui la guerre contre les Targaryen est arrivée après un geste inconvenant de Rhaegar. Bon, après, on n’apprend que quelques détails nouveaux à chaque fois et ça commence à faire répétition pour meubler même s’il n’est pas inutile de faire des rappels occasionnels pour ne pas se perdre dans les tours et détours de l’histoire principale et des intrigues secondaires, présentes ou passées.
J’aime l’avenir que Petyr Baelish décrit à Sansa si elle ne faiblit pas. Elle sera Gouverneur du Nord, quoi qu’il arrive. Soit libérée par l’armée de Stannis lorsqu’il descendra vers Port-Réal et reprendra Winterfell. Soit par son mariage avec Ramsay Bolton. Mais je ne sais pas pourquoi, je sens venir les grains de sable qui vont faire dérailler la belle machine. Connaissant Sansa, j’ai du mal à l’imaginer manipuler les Bolton, même avec Baelish comme professeur.
Et puis d’abord, elle est bizarre la relation entre Sansa et Baelish…

Du côté de Dorne, il m’a fallu remonter dans mes notes pour réaliser qu’Ellaria Sand, la concubine veuve d’Oberyn qui appelle à la vengeance, était bien celle qui l’accompagnait à Port-Réal au cours de la saison précédente. Oui je sais, je m’y perds parfois dans tous les personnages… surtout quand il s’écoule plus d’un mois entre deux épisodes !
Bref, tout ça pour dire que la guerre se prépare en secret à Dorne, entre Ellaria Sand et les filles d’Oberyn. Parce qu’évidemment, l’arrivée de Jaime et de Bronn n’est pas passée inaperçue.
Je passe sur les scènes en bateau entre ser Jorah et Tyrion qui ne nous apprennent rien de nouveau – à part que Tyrion est décidé très doué pour deviner les choses – le nom de son ravisseur et les raisons de son enlèvement.
Et pour finir, rien de nouveau sous le soleil de Meereen.
Daenerys continue de se montrer intransigeante face aux revendications pour la réouverture des arènes de combat et les Fils de la Harpie frappent à nouveau. Seule interrogation, Ver-Gris et Barristan Selmy sortiront-ils vivants de cette dernière confrontation ?

 

Game of Thrones - Sommaire
High Sparrow (S5 E3)                                        Kill the Boy (S5 E5)

 

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