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Chez Sylvania
12 juin 2015

2. L'heure du départ

Plusieurs semaines s’étaient écoulées depuis le jour où Irina avait assisté, le cœur gros, à l’enterrement de sa grand-mère et le mois d’août touchait à sa fin.
Devant la maison de famille des Pelletier, une grosse valise était posée dans l’allée du garage, à proximité d’un étui à guitare en cuir usagé. Le coffre d’une vieille Ford beige, entrouvert, laissait apercevoir un chargement de cartons, et sur le siège passager étaient posées plusieurs cartes routières.
Une seconde voiture, une Twingo vert pistache, était garée à l’ombre de l’olivier situé de l’autre côté de la rue.
À l’intérieur de la maison aux fenêtres ouvertes, dans le salon vidé des affaires personnelles d’Irina et de sa grand-mère, la blonde Mélina tentait une fois de plus de convaincre son amie de renoncer à ses projets.
- Mais qu’est-ce que tu vas faire à Paris ? demanda-t-elle pour la énième fois à la jeune femme décidée qui lui faisait face. Tu ne connais personne là-bas !
- Je te l’ai déjà dit, je me suis inscrite au Conservatoire de musique.
- Mais pourquoi si loin ? insista-t-elle. Tu ne pouvais pas continuer d’aller à la fac, comme moi ? Ou t’inscrire à des cours de musique ici ?
Un rien mal à l’aise, Irina répondit pourtant l’entière vérité.
- J’ai besoin de changer d’air.
- L’air pollué de Paris ? s’étonna Mélina avec incrédulité.
- C’est sûr que dit comme ça ! ne put s’empêcher de plaisanter Irina.
Liées par une amitié qui remontait à leur enfance, souvenirs de séances de maquillage en cachette et de grignotages nocturnes au coin du feu, les deux jeunes femmes échangèrent un regard complice avant d’éclater de rire.
- Tu sais, depuis la mort de mamie ce n’est pas facile, reprit Irina avec sérieux. Je veux dire, de rester ici, justement.
- Je comprends ça, mais… Enfin, tu vas me manquer.
- Toi aussi tu me manqueras, mais ce n’est pas comme si je partais à l’autre bout du monde, quand même ! On s’appellera. Et puis, tu pourras toujours venir me voir pour un week-end.
- Et toi, tu reviendras de temps en temps ?
- Je ne sais pas… peut-être, répondit Irina avec hésitation.
- Je suis sûre que tu ne m’as pas tout dit, remarqua la blonde jeune femme d’un ton soupçonneux. Qu’est-ce que tu me caches ?
- Mais rien voyons ! Tu te fais des idées, protesta-t-elle, mal à l’aise sous le regard inquisiteur de son amie.
- Tu ne vas pas rejoindre un mec, au moins ? insista pourtant cette dernière.
- Mais non ! Tu n’as pas besoin de te faire autant de souci pour moi, je t’assure, tenta de la rassurer Irina. J’ai juste envie, tu sais, d’élargir mon horizon. Découvrir une nouvelle ville. Rencontrer de nouvelles personnes.
- Si tu le dis…
Mais Mélina ne semblait pas complètement convaincue.

Vivement désireuse de changer de sujet, Irina entraîna son amie dans un dernier tour de reconnaissance de la maison, lui répétant les quelques conseils et recommandations déjà donnés un peu plus tôt.
- Bon, je t’ai montré où se trouvent le compteur électrique et l’arrivée d’eau, finit-elle par lui dire en arrivant dans la cuisine. Tu es sûre que ça ne t’embête pas de venir habiter ici pendant mon absence ?
- Hum, laisse moi réfléchir… fit mine de s’interroger Mélina. Une maison agréable à la campagne avec un loyer dérisoire, ou une minuscule chambre universitaire que je devrais partager avec deux autres filles ?
Amusée par la bonne humeur et le bon sens de son amie, Irina ne put s’empêcher de sourire.
- Tu seras quand même un peu loin du campus.
- Bah, ça m’est égal, répliqua négligemment cette dernière. Et puis, ce n’est qu’à vingt minutes en voiture.
- Je sais.
Le silence retomba quelques instants entre les deux jeunes femmes, puis Irina reprit la parole.
- Je crois que… commença-t-elle, hésitante. Enfin, je ferais mieux d’y aller. J’ai pas mal de route avant d’arriver à Paris.
La blonde Mélina acquiesça, sourire accompagné d’un soupir.
- Bon et bien… à un de ces jours, alors.
- Tu m’appelles quand tu seras installée dans ton nouvel appart’ ? demanda encore son amie.
- Promis.
Écourtant les adieux qui menaçaient de s’éterniser, la jeune femme saisit la clef de sa voiture posée sur le comptoir de la cuisine et sortit de la maison.

Tout en essayant de caser sa valise dans le coffre déjà bien rempli de la Ford, Irina réfléchissait.
Mélina n’avait pas tout à fait tort de la soupçonner de lui cacher quelque chose.
Depuis qu’elle avait découvert les photos et les lettres que sa grand-mère avait précieusement conservées, cachées dans le fond de la commode, la jeune femme ne pouvait s’empêcher de rêver à d’hypothétiques retrouvailles avec sa mère. Son inscription au Conservatoire de musique de Paris n’était qu’un prétexte pour entreprendre des recherches, avec au fond d’elle-même, l’espoir de trouver le courage de forcer le destin et de rencontrer enfin l’absente.
Elle n’en avait parlé à personne, pas même à ses amis les plus proches, elle ne savait pas vraiment pourquoi. Sans doute un reste de pudeur. La crainte qu’ils n’essaient de la faire changer d’avis.
Elle les connaissait depuis tellement longtemps. Elle pouvait sans peine imaginer ce qu’ils lui diraient.
« Pourquoi est-ce que tu veux retrouver cette femme qui t’a abandonnée quand tu n’étais encore qu’un bébé ? » tenterait de la raisonner Lambert, avec son irrésistible accent du sud. « Tu n’en as rien à faire, d’elle ! »
Quand à Mélina, elle secouerait la tête avec évidence et prendrait ce ton si raisonnable de future institutrice.
« Et puis, c’est tellement grand, Paris ! Comment vas-tu t’y prendre pour la retrouver ? » lui rappellerait-elle avec justesse. « Tout ce que tu as, c’est un nom et une adresse qui datent d’il y a quatre ans ! »
Ces phrases, Irina se les étaient répétées de nombreuses fois depuis le début de l’été. Depuis que l’idée de partir à la recherche de sa mère lui avait traversé l’esprit à la lecture de cette fameuse lettre.
Mais avec la mort de sa grand-mère, sa seule famille depuis son enfance, la jeune femme aspirait presque désespérément à retrouver la chaleur d’un foyer et d’une famille aimante.

Ayant terminé de charger ses affaires dans le coffre de la voiture de son aïeule, Irina embrassa une dernière fois son amie, avant d’ouvrir la portière et de s’installer derrière le volant.
Contrairement à son habitude, le vieux tacot démarra au premier tour de clef et la jeune femme quitta lentement l’allée de garage pavée pour s’engager sur la chaussée.
Laissant derrière elle la maison de son enfance, elle alluma l’autoradio et commença à fredonner gaiement les premières mesures d’un morceau de Vivaldi qu’elle appréciait tout particulièrement.
Le temps était clair, une douce chaleur entrait par la fenêtre entrouverte.
Irina quitta rapidement le village et s’engagea sans regret sur la route qui allait la mener vers ce que l’avenir lui réservait.

 

Sommaire de la fiction
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12 juin 2015

Le mystère de Listerdale

AC 17 - Le mystère de ListerdaleLe mystère de Listerdale     Agatha CHRISTIE
     The Listerdale Mystery

 

sorti en 1934
189 pages
Genre : policier

 

4ème de couverture
Ces douze nouvelles n'appartiennent pas à proprement parler à la littérature policière, mais toutes traitent avec brio de situations étranges, ou évoluent autour d'un meurtre.
Chacune, dans sa brièveté, est une comédie complète, ou un drame, et aucune ne ressemble aux autres, sinon que la plupart, quel que soit le mystère qu'elles distillent, s'achèvent sur un éclat de rire.

 

Extraits (1ère et dernière phrase du roman)
Cet ouvrage n'est pas un roman classique mais un recueil de 12 nouvelles, toutes indépendantes les unes des autres. La première et la dernière phrase n'ont forcément rien en commun, j'ai donc choisi de prendre la première et la dernière phrase de chacune de ces nouvelles.

Le mystère de Listerdale     (The Listerdale Mystery)
Mrs. Saint-Vincent alignait des chiffres.

Elle lui tendit les mains.

Philomel Cottage     (Philomel Cottage)
- Au revoir, chéri.

Elle parlait comme en un rêve, les yeux clos.

La jeune fille dans le train     (The Girl in the train)
- Et voilà ! constata George Rowland, l'air lugubre, en levant les yeux sur l'imposante façade noircie de fumée de la maison dont il sortait.

- Elisabeth, ma chérie, je vais contrevenir aux règlements des chemins de fer, je vais vous embrasser !

Une chanson pour six pence     (Sing a Song of six pence)
Sir Edward Palliser, avocat à la Cour, habitait au n°9 du Clos Queen Anne.

Son refuge contre la rumeur d'un monde agité.

La métamorphose d'Edward Robinson     (The Manhood of E. Robinson)
D'un seul mouvement de ses bras puissants, Bill la souleva de terre et la serra sur sa poitrine.

- Oh, Edward ! gémit-elle. Je t'adore...

Accident     (Accident)
- Il s'agit de la même femme... cela ne fait aucun doute !

- George, George !... Viens vite ! Un terrible accident... Ce pauvre Mr. Evans...

Jane cherche une situation     (Jane in search of a job)
Jane Cleveland feuilleta les pages du Daily leader et soupira profondément.

Et il se rapprocha de Jane.

Un dimanche fructueux     (A Fruitful sunday)
- Vraiment, c'est merveilleux ! dit Dorothy Pratt pour la quatrième fois.

- Ted, tu es un amour. Viens, allons au cinéma.

L'aventure de Mr. Eastwood     (Mr Eastwood adventure)
Mr. Eastwood regarda le plafond.

Il contempla ces mots pendant une minute. Puis il se mit à taper rapidement.

La boule rouge     (The Golden ball)
George Dundas, debout au cœur de la Cité, méditait.

- Où se procure-t-on une licence de mariage, mon oncle ? A Lambeth Palace ou à Doktor Commons ?

L'émeraude du Radjah     (Radjah's emerald)
Avec un sérieux effort, James Bond reporta son attention sur le petit livre jaune qu'il avait entre les doigts.

Il salua, poliment, et rejoignit son compagnon.

Le chant du cygne     (Swan song)
C'était à Londres, un matin de mai, à onze heures.

A la porte, elle s'arrêta, jeta un regard par-dessus son épaule, comme pour revoir une dernière fois les trente dernières années de sa carrière, puis elle murmura les derniers mots d'un autre opéra :
E finita la comedia.

 

Mes impressions
Ce que j'ai apprécié dans ces nouvelles ?
Les différents univers décrits, les intrigues variées qui nous emmènent dans des directions inattendues. Le mélange de mystère et de légèreté souvent sentimentale. Le style d'écriture d'Agatha Christie.

 

Sommaire                                             Sommaire Agatha Christie

 

9 juin 2015

Gâteau de l'Argoat

Ingrédients
250g de farine
150g de sucre en poudre
150g de beurre
3 œufs + 1 jaune
1 petit verre de rhum
1 pincée de sel

 

Mettre le four à préchauffer thermostat 6 (180°).

Dans un grand saladier, ramollir le beurre en le malaxant avec une cuiller en bois.
Lorsqu'il est en pommade, ajouter le sucre
et bien mélanger pour obtenir une crème homogène.

Ajouter les œufs entiers un par un, la pincée de sel, puis peu à peu la farine en pluie.
Mélanger longuement en incorporant le petit verre de rhum.

Beurrer largement un moule et y verser la pâte.

Battre un jaune d'œuf dans un bol
et à l'aide d'un pinceau, en badigeonner le dessus du gâteau.
Avec les dents d'une fourchette, dessiner une rosace en guise de décor.

Mettre à cuire pendant environ 40 minutes.
Laisser refroidir avant de déguster.

Gâteau de l'Argoat

Bon appétit !

 

Mes recettes

 

9 juin 2015

La mort dans les nuages

AC 16 - La mort dans les nuagesLa mort dans les nuages     Agatha CHRISTIE
     Death in the clouds

 

sorti en 1935
250 pages
Genre : policier

 

4ème de couverture
Comment lancer un dard empoisonné ? Avec une sarbacane, évidemment, comme le font les Indiens d'Amérique du Sud. Mais, si l'on n'a pas de sarbacane sous la main, n'importe quel tube fera l'affaire. Une flûte, par exemple. Ou un fume-cigarette, s'il est assez long. Et même une pipe kurde en terre cuite... pourquoi pas ?
Oui, un quelconque tuyau conviendrait... Voilà qui est bien ennuyeux... Parce que, dans ce cas, tous les passagers sont suspects. N'importe qui dans l'avion peut s'être débarrassé de Mme Giselle de cette façon si particulière. Quelle drôle d'idée, tout de même ! Il y a tant d'autres moyens plus discrets pour tuer quelqu'un !

 

Extraits (1ère et dernière phrase du roman)
Le soleil de septembre dardait ses rayons encore chauds sur l'aérodrome du Bourget, au moment où les passagers traversaient le terrain et montaient dans l'avion de ligne le Prométhée, en partance pour Croydon.

- Ça, c'est très gentil, dit Hercule Poirot.

 

Mes impressions
Ce que j'ai aimé ?
Le lieu du crime peu banal, qui limite forcément le nombre de suspects. Le mode opératoire encore plus original, digne des mystères tout droits sortis de l'imagination délirante d'un écrivain... enfin peut-être. La technique d'Hercule Poirot, les conséquences pour les innocents. L'imprévu qui se mêle de compliquer la situation pour un dénouement inattendu. Et le style léger d'Agatha Christie, si plaisant à lire.

 

Sommaire                                                  Sommaire Agatha Christie

 

8 juin 2015

GP du Canada 2015 - Tranquille pour Hamilton


La preview incontournable du week-end québécois sur le site du SAV de la F1...

Canada 2015 – Preview : Canada, Canada, voilà Hamilton !

 

Vendredi 5 juin 2015

Essais libres 1

Ce que je retiens de cette séance :
-> évidemment les Mercedes devant avec Lewis Hamilton en haut de la feuille des temps
-> derrière Romain Grosjean est le meilleur des autres, devant un Nico Hülkenberg inattendu sur sa Force India
-> des agrafes dans la voie des stands, pas banal ça… et super dangereux !
-> retour en forme pour les Williams – en même temps, c’est difficile de faire pire qu’à Monaco – et on inverse pour les Toro Rosso en retrait pour le moment

 

Essais libres 2

Ce que je retiens de cette séance :
-> « ♪ It’s raining again… ♪ »
J’admire toujours autant les commentateurs qui réussissent à meubler pendant que défilent sur l’écran des images de pluie, de flaques et de gouttes d’eau, de spectateurs sous des parapluies ou de superbes gros plans sur des oiseaux…
-> LA séance de Lewis Hamilton, entre sauts sur les vibreurs, meilleur temps et crash à l’épingle sous la pluie
-> et sinon, honnêtement, pas grand-chose de plus à retenir si ce n’est que les pilotes ont essayé de rouler le plus possible avant l’arrivée de la pluie – pneus super tendres, longs relais…

 

Samedi 6 juin 2015

Essais libres 3

Ce que je retiens de cette séance :
-> une séance marquée par 2 drapeaux rouges, l’un surprenant – et drôle, il faut l’avouer avec Felipe Nasr qui se met bêtement dans le mur en zigzaguant pour faire chauffer ses pneus – et l’autre moins surprenant – c’est malheureusement habituel les soucis chez McLaren…
-> Mercedes aux 2 extrémités de la feuille des temps, Nico Rosberg en haut et Lewis dans le fond sans avoir pu réaliser un bon tour
-> et sinon elles sont en forme les Lotus ce week-end, pourvu que ça dure !

Avant les qualifications, sur le site du SAV de la F1
Canada 2015 – Le Top/Flop des Essais Libres

 

Qualifications

Ce que je retiens de cette séance :
-> des surprises au programme avec l’élimination de Sebastian Vettel et Felipe Massa dès Q1
-> toujours en Q1 Romain Grosjean qui claque le meilleur temps devant les Mercedes – oui bon je sais, il était en pneus super tendres alors que les Mercedes étaient en tendres, mais quand même, ça fait plaisir
-> la 44ème pole pour la Mercedes n°44 de Lewis Hamilton, sans surprise
-> les 2 Lotus qui sortent en même temps du garage en Q3 et remontent la voie des stands côte à côte… euh, c’est pas un peu dangereux ça ? Va falloir améliorer la communication entre les 2 côtés du garage !
-> 7 moteurs Mercedes dans les 10 premiers sur la grille… ah oui, Montréal est un circuit de moteur et ça s’y connaît
-> les pénalités que l’on cumule en fin de journée, compliqué pour calculer le fond de grille !

Les qualifications sur le site du SAV de la F1
Canada 2015 – Le SAV des qualifications

À écouter et savourer sans modération...
Canada 2015 – Le SAV des qualifications, en podcast

GP Canada

Dimanche 7 juin 2015

La course n’a pas été l’une des plus palpitantes, surtout pour un GP du Canada, mais j’apprécie tellement le circuit Gilles Villeneuve que je ne peux m’y ennuyer !
Et ce n’est pas la marmotte qui dira le contraire, elle qui était si désireuse de voir les F1 de près !

Ce que je retiens de cette course :
-> le double abandon des McLaren ou comment faire de cette saison une séance d’essais privés grandeur nature… petit accroc dans la régulière pente ascendante depuis le début de l’année
-> Lewis Hamilton qui maîtrise, de la pole à la victoire malgré les quelques erreurs des séances précédentes – décidément le Canada lui sourit !
-> les superbes remontées de Sebastian Vettel et de Felipe Massa – ça aide pour montrer son talent quand on part derrière… et qu’on a une bonne voiture !
-> la seule erreur de Kimi Räikkönen en tête-à-queue à l’épingle qui lui fait perdre la 3ème marche du podium au profit d’un Valtteri Bottas impeccable
-> les premiers points de Pastor Maldonado – hourra pour lui – tandis que Romain Grosjean commet une belle boulette en dépassant et accrochant la Marussia de Will Stevens – mais que j’aime ce nouveau Romain qui sait reconnaître ses erreurs !
Sinon elles étaient vraiment en forme les Lotus ce week-end !
-> un bon résultat pour Nico Hülkenberg après les derniers grand prix décevants
-> Daniil Kvyat qui sauve l’honneur des moteurs Renault, le seul dans les points quand Daniel Ricciardo se noie dans l’anonymat et que les Toro Rosso sont en souffrance
-> les Sauber… euh… les Sauber… elles étaient là, les Sauber, ce dimanche ?

Et en vrac…
-> un premier abandon pour Marussia
-> Nico Rosberg, pourtant 2ème, que j’oublie… oups ! lol
-> le petit jeu comique du « mais où est passé Romain Grosjean ? » qui m’a fait bondir sur mon canapé – coquin de bug d’affichage !
-> Fernando Alonso qui résiste à Sebastian Vettel – son grand moment de la course sans doute… voire du week-end… ou même du début de saison
-> la figure en duo de Sebastian Vettel et Nico Hülkenberg
Et puis c’est tout !

La course sur le site du SAV de la F1
Canada 2015 - Le SAV de la course

À écouter et savourer sans modération...
Canada 2015 - Le SAV de la course, en podcast

 

Sommaire
GP de Monaco 2015                                            GP d'Autriche 2015

 

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5 juin 2015

La nuit de la louve

Moïra 3 - La nuit de la louveLa nuit de la louve     Henri LOEVENBRUCK

 

sorti en 2002
404 pages
Genre : fantasy

3ème et dernier tome de La Moïra

 

4ème de couverture
Aléa est le Samildanach. Le dernier enfant du Saîman. Sur l'île de Gaelia, partout, le feu de la haine déferle, pendant que la magie, lentement, disparaît.
Il faut sauver les silves, retrouver la louve blanche chassée par les hommes, comprendre le sens de la Moïra et des trois prophéties et surtout préparer le monde de demain.
Une guerre, deux êtres, trois prophéties. Peut-on tout sacrifier au nom de la liberté ?

 

Extraits (1ère et dernière phrase du roman)
La mémoire de la terre est étrangère à celle des hommes.

- Tu es enceinte, Aléa ?
- Oui.

 

Mes impressions
Ce que j'ai aimé ?
Le dénouement de cette histoire avec le nouvel âge de l'île. Les atrocités individuelles et collectives tellement inutiles, mais pourtant nécessaires. Quand l'avenir ne se joue pas sur les champs de bataille mais dans le pacifisme, le charisme et la volonté bienveillante. Les décisions et leurs conséquences, le sens de la Moïra. La confrontation tant attendue qui se résume à quelques instants. Et la révélation finale qui a fait couler mes larmes - oui je sais, je suis émotive et il m'en faut peu pour qu'elles coulent, mais j'ai été prise par surprise par cette révélation, et touchée, et émue...

Un roman de fantasy en Irlande, la réunion de deux de mes coups de cœur...

Et sinon il existe une suite à cette trilogie, donc à suivre !

 

La guerre des loups                                        Sommaire

 

3 juin 2015

Pain perdu au parmesan

Ingrédients
Pour une tranche de pain perdu
1 tranche de pain de mie
1 œuf
1 cuillérée à soupe de lait
1 cuillérée à café de parmesan râpé
sel & poivre

 

Casser l'œuf dans une assiette creuse.
Ajouter le lait et battre vigoureusement.
Saler et poivrer.

Poser la tranche de pain de mie dans l'assiette
et la laisser s'imbiber du mélange.

Faire fondre un peu de beurre dans une poêle.
Poser la tranche de pain de mie dedans.
Saupoudrer d'un peu de parmesan râpé.

Laisser cuire, retourner et laisser dorer.

Servir chaud.
Accompagner éventuellement de quelques tomates cerises.

Pain perdu au parmesan

Bon appétit !

 

Mes recettes

 

2 juin 2015

Sept ans de réflexion

Sept ans de réflexion     Sept ans de réflexion

 

sorti en 1955
Genre : comédie
durée : 1h 45 min
The Seven Year Itch

Réalisateur : Billy Wilder
Avec : Marilyn Monroe, Tom Ewell

 

Synopsis
Richard Sherman rentre chez lui après avoir accompagné son épouse, Helen, et son fils, Ricky, à la gare. Le mari et père de famille délaissé pour les vacances voit bien vite sa solitude troublée par sa charmante voisine, une blonde capiteuse et ingénue, qui ne mesure pas l'effet de l'oscillation de ses hanches sur l'esprit des hommes. Soudain guilleret, Richard rêve de séduire la belle, persuadé que le deuxième concerto pour piano de Rachmaninov lui sera d'une aide décisive. Mais entre ses désirs les plus fous et la plus prosaïque réalité, il y a un grand fossé, que les vapeurs d'alcool, qui sait, lui permettront peut-être de franchir...

 

Mes impressions
Ce que j'ai aimé ?
Légèreté de ton et humour dans cette comédie rafraîchissante. L'imagination galopante du héros qui nous entraîne dans ses fantasme de séducteur. La douce naïveté de la blonde voisine. Les petits clins d'œil discrets.
Un moment très agréable...

 

Sommaire

 

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