La Rose de saphir
La Rose de saphir David EDDINGS
The Sapphire Rose
sorti en 1991
810 pages
Genre : fantasy
3ème tome de La Trilogie des Joyaux
4ème de couverture
Émouchet a retrouvé le joyau légendaire. Il libère la reine Ehlana du trône de cristal, ce cocon qui la maintenait en vie tandis qu’il cherchait un remède à son mal mystérieux. Quelle déception pour l’empoisonneur, qui avait programmé secrètement l’extinction de la dynastie ! Et quelle tentation pour l’immonde Azash, dieu aîné des Zemochs, qui a besoin de la pierre sacrée pour devenir maître du monde ! Mais il faut maintenant protéger le joyau repris…
Extraits (1ère et dernière phrase du roman)
À la suite de l’invasion de l’occident par les peuples élénophones des steppes de Darésie centrale, les élènes émigrèrent progressivement vers l’ouest en provoquant le déplacement des populations clairsemées de Styriques qui habitaient le continent éosien.
Leurs cœurs se gonflèrent tandis que la Déesse-Enfant jouaient pour eux le chant joyeux et toujours neuf de rédemption et de renouveau, car le terrible hiver était désormais passé et le printemps était revenu.
Mes impressions
Ce que j’ai aimé ?
Le caractère de la reine Ehlana, qui ne tarde pas à prendre au piège son champion finalement assez consentant. La dernière aventure pour se débarrasser de la menace d’Azash et de ses sous-fifres. Cette mort brutale lors des affrontements dans le palais d’Otha et la vengeance de Talen. Le retour intermittent de Flûte/Aphraël.
Dans le négatif, j’ai trouvé qu’il y avait quelques longueurs dans ces 800 et quelques pages. Au moment de la bataille à Chyrellos. Pendant toutes les manœuvres politiques pour l’élection de l’archiprélat.
Et puis surtout, une déception au sujet de la fin. Pas dans l’affrontement final avec Azash, mais dans ce qui vient après. La morosité ambiante dans cet hiver provoqué par l’humeur des dieux qui délaissent le monde. Et l’épilogue un peu trop mièvre à mon goût.
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