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Chez Sylvania
10 mai 2015

GP d'Espagne 2015 - Rosberg de la pole à la victoire


La preview incontournable du week-end en Espagne sur le site du SAV de la F1...
Espagne 2015 – Preview : Ferrari, nouvelle banderille pour Mercedes ?

 

Vendredi 8 mai 2015

Essais libres 1

Ce que je retiens de cette séance :
-> un tir groupé des 3èmes pilotes en piste et dans l’ensemble pas beaucoup d’action sur cette piste ultra connue des pilotes
-> les Mercedes une seconde devant la concurrence avec Nico Rosberg
-> chez Red Bull, la voiture de Daniel Ricciardo reste au stand pour limiter le roulage dans l’attente du montage du 4ème moteur
-> souci de boîte pour la Lotus de Pastor Maldonado
-> ah… et j’aime vraiment beaucoup la nouvelle livrée de la McLaren, surtout quand Fernando Alonso gratifie ses fans espagnols d’un superbe 360° !

 

Essais libres 2

Ce que je retiens de cette séance :
-> le capot moteur de la Lotus de Romain Grosjean qui explose dans la ligne droite, impressionnant !
-> et du coup l’équipe qui scotche de partout la voiture de Pastor Maldonado, juste au cas où…
-> Mercedes toujours devant avec Lewis Hamilton – je regardais les caméras embarquées, ce qu’elle a l’air fluide à conduire par rapport à certaines voitures !
-> Kimi Räikkönen très diplomate à la radio « Vous voulez que je continue ? Je n’apprends absolument plus rien, mais si vous voulez que je continue… »
-> Daniel Ricciardo, quelques minutes en piste en fin de séance – passionnante cette journée pour le pilote australien

 

Samedi 9 mai 2015

Essais libres 3

Ce que je retiens de cette séance :
-> euh… ZZZzzz ?
-> l’écart « semble » se réduire entre Mercedes et Ferrari même si Nico Rosberg reste devant
-> merci à Lewis Hamilton d’avoir (un peu) animé la mi-séance avec son tête-à-queue
-> encore et toujours des soucis sur le moteur Renault chez Red Bull, cette fois pour Daniil Kvyat
-> et sinon… elles sont loin les Lotus !

Avant les qualifications, sur le site du SAV de la F1
Espagne 2015 – Le Top/Flop des Essais Libres

 

Qualifications

Ce que je retiens de cette séance :
-> la pole de Nico Rosberg – la première cette saison, enfin – devant son coéquipier et la Ferrari de Sebastian Vettel
-> très belle séance pour Carlos Sainz, 4ème en Q1 et 5ème sur la grille – et au passage, les 2 Toro Rosso sont devant les 2 Red Bull, je dis ça et je dis rien moi…
-> pas de Lotus en Q3 ce week-end
-> et les pilotes sagement classés par 2 par 2 dans la 2nde moitié du classement, reflet du niveau des équipes ?

Les qualifications sur le site du SAV de la F1
Espagne 2015 - Le SAV des qualifications

À écouter et savourer sans modération...
Espagne 2015 - Le SAV des qualifications, en podcast

GP Espagne

Dimanche 10 mai 2015

Ah, les retrouvailles avec le circuit de Catalunya… l’incontournable sieste digestive dominicale devant l’écran de ma télévision !
Non je n’ai pas somnolé, juste bâillé de temps à autre… lol
Mais bon, fan de F1 à fond, j’arrive toujours à trouver de quoi me réjouir.

Ce que je retiens de cette course :
-> le départ raté de Lewis Hamilton qui a conditionné toute la course, pour une victoire tranquille de Nico Rosberg
-> ça a été une journée compliquée chez Lotus, entre Romain Grosjean qui heurte Pastor Maldonado, endommageant son aileron arrière et ruinant par la même occasion sa course jusqu’à l’abandon, et l’arrêt au stand turbulent du français – oh que ça doit faire mal aux c… !
Mais j’ai bien aimé son interview juste après la course, au micro de Canal+. Il a reconnu ses erreurs et c’est une qualité que j’apprécie d’autant plus chez les pilotes qu’elle se fait rare.
-> les Ferrari et les Williams 2ème et 3ème forces du plateau avec un avantage italien – mais quelle belle résistance de Valtteri Bottas devant Kimi Räikkönen dans un duel finlando-finlandais
-> déception pour les Toro Rosso qui se sont effondrées en course après leur belle qualification – mais ce qu’ils ont dû avoir les oreilles qui sifflaient sous leurs casques, Carlos Sainz et Max Verstappen, avec toutes les remarques de mon duo de commentateurs préféré sur leurs dépassements… ou plutôt leurs tentatives de résistance aux dépassements des autres !
-> Daniel Ricciardo le meilleur des autres, faute de mieux
-> ah, et j’ai failli oublier l’abandon de Fernando Alonso – l’image de lui, assis seul dans le stand McLaren avant le début de la course était ironiquement prémonitoire !
-> ces communications radio qui me font sourire – Sebastian Vettel et les drapeaux bleus, Lewis Hamilton qui veut s’assurer qu’il est vraiment impossible de rattraper Nico avant la fin de la course

Non je ne parlerai ni des Sauber inexistantes – ils ont bien fait d’engranger quelques points lors des premières courses – ni des Force India qui régressent faute d’évolutions, ni des Manor/Marussia dont j’admire la constance dans la présence parce qu’il faut bien se réjouir de quelque chose pour elles…

Edit
Zut, j’ai oublié un truc dont je voulais parler…
C’est quand même triste, un GP dont les seuls dépassements sont ceux réalisés sous DRS, non ?

La course sur le site du SAV de la F1
Espagne 2015 - Le SAV de la course

À écouter et savourer sans modération...
Espagne 2015 - Le SAV de la course, en podcast

 

Sommaire
GP de Bahreïn 2015                                            GP de Monaco 2015

 

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10 mai 2015

Coucher de soleil

Sujet imposé

 

Le soleil descendait lentement vers l’horizon.
Après avoir crevé l’épaisse couverture nuageuse qui avait persisté tout au long de la journée, ses rayons avaient soudainement embrasé le ciel, recouvrant la surface mouvante de la mer d’une multitude d’étincelles flamboyantes.
Assis sur l’un des rochers qui couronnaient la falaise, Jacob contemplait la beauté de ce coucher de soleil.
Ce lieu était l’un de ses préférés. Somptueux. À couper le souffle.
À cet endroit, la falaise s’avançait dans la mer, la dominant d’une dizaine de mètres comme pour lui tenir tête. Battue par les vagues qui se brisaient contre la paroi rocheuse, elle résistait, immuable face au temps.
C’était là qu’il faisait invariablement une pause au cours de son jogging quotidien sur le sentier de la côte, respirant l’odeur salée des embruns, se ressourçant au contact de la nature sauvage. C’était là qu’il s’asseyait pour réfléchir à son avenir, ses études interrompues, ses stages difficiles, son changement d’orientation professionnelle. C’était là qu’il avait emmené Line lors de leur premier rendez-vous, après le dîner au restaurant, pour admirer les étoiles, bercés par le murmure des vagues. C’était là qu’il l’avait demandée en mariage lors d’un pique-nique arrosé de champagne, sous un coucher de soleil si semblable à celui de ce soir. Et c’était là qu’elle lui avait annoncé qu’il allait bientôt être papa, quelques huit mois plus tôt.
Souvenirs inoubliables de moments uniques, à jamais gravés dans son cœur.
Jacob ferma les yeux un court instant. Le cri des mouettes au loin. Le souffle du vent dans ses cheveux. La chaleur des derniers rayons du soleil sur sa peau.
Lorsqu’il les rouvrit, l’astre lumineux avait entamé sa plongée dans l’océan.

Ses pensées remontèrent le fil du temps, s’arrêtant à ce récent mardi matin où Line l’avait réveillé à l’aube, les mains crispées sur son ventre arrondi. Douloureuses contractions qui annonçaient la venue du bébé.
Tout était prêt depuis plusieurs jours déjà. Dominant tant bien que mal la panique qui l’avait envahi devant la souffrance évidente de la femme qu’il aimait plus que tout au monde, il avait saisi le sac de voyage posé dans un coin de la chambre, cherché follement ses clefs avant de les retrouver accrochées à leur emplacement habituel, sorti la voiture du garage. Le trajet jusqu’à la maternité se perdait dans les brumes de son cerveau, de même que le discours pourtant réconfortant de l’infirmière d’accueil.
L’accouchement s’était éternisé, comme souvent pour une première naissance.
Visites régulières du médecin qui surveillait l’avancée du travail. « Ne vous inquiétez pas, tout progresse normalement… »
Cette phrase répétée jusqu’à satiété.
Le service bruissait d’activités. Ils avaient discuté pour passer le temps entre les contractions qui se rapprochaient lentement. Taquineries sur le prénom du bébé qu’ils n’arrivaient pas à choisir. Grégoire ou Arthur ? Enzo ou Liam ? Le sourire rassurant de la sage-femme tandis qu’elle leur faisait écouter les battements de cœur de leur futur héros. Line qui l’encourageait à aller chercher un sandwich à la cafétéria, « Promis je t’attends pour accoucher… »
Son sourire taquin lorsqu’il avait finalement cédé, la faim plus forte que sa résistance, son désir de rester près d’elle. Le baiser déposé dans la paume de sa main comme un joyau précieux. Hamburger et frites avalés à la va-vite sur un coin de table avant de remonter à la maternité.
L’atmosphère qui avait changé en son absence, un début d’affolement remplaçant l’attente sereine de la journée. Que s’était-il passé ?
Quelques mots au milieu des conversations médicales inquiètes. Rythme cardiaque trop faible. Détresse fœtale. Éventualité d’une césarienne. Procédure d’urgence. La sage-femme avait précipitamment quitté la chambre. Les cris dans le couloir.
La peur dans les yeux de Line.
Si vite que tout se mélangeait dans sa tête. Salle d’opération, casaque stérile pour lui, sa main serrée autour de celle de Line. Ces mots chuchotés comme un leitmotiv, « Ça va bien se passer, ça va bien se passer, ça va bien se passer… » Le sang qui avait giclé et les alarmes qui résonnaient. La voix tendue du médecin qui donnait des ordres. L’infirmière qui avait laissé échapper un « Oh mon dieu, il a le cordon enroulé autour du cou ! »
Le silence à la naissance de leur fils, le plus terrible des sons quand on guette le premier cri, les premières pleurs.
Tout ce monde qui s’activait autour d’eux. Autour du bébé. Pendant ce qui lui avait paru des heures. Dans l’attente.
Et le regard du médecin lorsqu’il avait enfin relevé la tête.
- Je suis navré, nous n’avons rien pu faire.
Les mots qui se noyaient dans un brouillard. Accident. Très rare. Les larmes de Line lorsqu’elle avait tenu leur fils dans ses bras. Mort avant d’avoir vécu.

On les avait changés de chambre, pour leur épargner la proximité de la nursery. Ils s’étaient retrouvé seuls avec leur douleur, leur incompréhension. Leur révolte face à la cruauté de la vie qui venait de leur voler leur fils, leur bonheur.
Pourquoi ? Pourquoi eux ?
Épuisée par l’accouchement et le chagrin, Line avait fini par s’endormir, les joues humides de larmes. Debout devant la fenêtre, Jacob avait passé la nuit à contempler les étoiles sans les voir, incapable de trouver le sommeil. Enfermé dans sa propre souffrance.
Seuls les mots de Line avaient réussi à l’atteindre dans cet état de prostration dans lequel il se trouvait, « Chéri, je ne me sens pas bien… »
Cette voix rauque. Ses joues rouges lorsqu’il s’était tourné vers elle, ses yeux trop brillants. Son front brûlant sous ses doigts.
Cédant à l’affolement, Jacob s’était précipité dans le couloir, interpelant la première infirmière qu’il avait croisée. Rapidement, la chambre avait été envahie par toute l’équipe médicale. Prise de sang, examens divers dont il n’avait pas retenu le nom. On l’avait prié de s’éloigner, il avait refusé.
La journée n’avait été qu’une longue succession d’hypothèses, de traitements. D’espoirs déçus. L’état de Line s’était aggravé d’heure en heure. Une infection virulente au nom tellement compliqué que même les médecins semblaient s’emmêler la langue en le prononçant.

Le vent était tombé, se réduisant à une douce brise tiède. Le bruit des vagues se brisant sur les rochers en bas de la falaise s’était peu à peu imposé à son esprit, le ramenant vers l’instant présent. Le soleil avait fini de se noyer dans l’océan, ne restaient que quelques éclats flamboyants dans l’indigo du ciel.
Il avait marché sans savoir où il allait lorsqu’il avait enfin quitté l’hôpital. Presque trois jours sans quitter le bâtiment, le service de la maternité. Sans dormir, sans changer de vêtements. Sans même prendre une douche. Se nourrissant sans conviction de ce que les infirmières lui avaient mis dans les mains, sans même se soucier de savoir ce que c’était.
Trois journées au cours desquelles il avait l’impression d’avoir vieilli d’une centaine d’années au moins.
Ne pas oser s’éloigner de peur de perdre le moindre moment passé avec Line. De peur que ce soit le dernier. Se raccrocher à la moindre lueur d’espoir pour ne pas s’effondrer devant l’inéluctable. Rejeter en bloc les conclusions des médecins. « Elle va vivre, il ne peut en être autrement, je l’aime tant… »
Prières insensées, la main de Line dans les siennes, son front posé contre sa peau moite.
Et les mots du médecin. Durs, cruels.
- Nous avons fait tout ce qui était en notre pouvoir. Malheureusement votre femme ne répond à aucun des traitements que nous lui avons administrés. L’infection s’étend à présent à tous ses organes, ce n’est plus qu’une question d’heures avant que… de minutes peut-être. Vous devriez lui dire au revoir tant qu’elle est encore consciente.
L’alarme qui avait retenti au même instant, vrillant ses tympans en même temps qu’elle annihilait ses derniers espoirs.
Tentatives futiles de réanimation. Le cri muet qui l’avait déchiré. Les lumières agressives, les sons lancinants. Le silence, soudain. « Heure du décès, dix-neuf heures trente-deux… »

Frissonnant dans la chaleur de cette soirée d’été, Jacob se remit maladroitement debout.
Son corps était épuisé, son âme meurtrie, comme amputée d’une part essentielle. Quelques jours avaient suffi pour le faire basculer. Du bonheur le plus parfait au désespoir le plus sombre.
Des cailloux roulèrent sous ses pieds comme il fit quelques pas. S’éloignant des rochers. Se rapprochant du bord de la falaise.
Les étoiles commençaient à piqueter le ciel de leur lueur froide, comme autant de diamants sur une soie bleu nuit. Juste en dessous, la surface de la mer ondulait sous l’effet de la marée montante, bordée d’une écume à la blancheur spectrale.
Jacob se pencha pour tenter d’apercevoir les rochers, leur dentelle sombre et humide au pied de la falaise. L’odeur des algues qui remontait vers lui.
Un pas, juste un pas et tout serait terminé.

C’est un pêcheur qui découvrit son corps le lendemain matin.
Brisé sur les rochers.

 

Sujet imposé : Écrire un texte qui se termine « mal ».

 

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5 mai 2015

Le temps des souffrances

Préquelles 3 - Le temps des souffrancesPolgara la Sorcière - Le temps des souffrances
                                   David et Leigh EDDINGS
     Polgara the Sorceress

 

sorti en 1997
583 pages
Genre : fantasy

3ème chant des Préquelles

 

4ème de couverture
De la Grande Guerre des Dieux, tout n'a pas été dit. C'est Polgara, fille de Belgarath le Sorcier et Poledra la Louve, qui va enfin éclairer ce qui était jusque là resté dans l'ombre.
Elle nous conte son enfance et son adolescence difficiles, sa souffrance à la mort de sa sœur - épreuve dont elle sortira plus forte. Et cette mission inouïe que le Dieu Aldur lui confie : veiller sur l'Arendie. C'est dans ce pays déchiré par les guerres qu'elle vivra plusieurs siècles et rencontrera la trahison...

 

Extraits (1ère et dernière phrase du roman)
Kail, le Gardien de Riva, protesta avec énergie quand Belgarion, son roi, l'informa qu'il avait l'intention de se rendre sans escorte au Val d'Aldur avec Ce'Nedra, mais Garion tapa du pied - à la grande surprise de sa petite épouse, parce que ce n'était vraiment pas son genre - et dit :
- C'est une réunion de famille, Kail.

C'est ainsi que je quittai Vo Wacune, où mon cœur devait rester pour l'éternité.

 

Mes impressions
Ce que j'ai aimé ?
La vision du monde de Polgara après celle de Belgarath - pour une fois qu'on s'intéresse d'un peu plus près à un personnage féminin d'importance !
Les premières années avec Beldaran. La douloureuse séparation et les apprentissages - et pas ceux uniquement liés au Vouloir et au Verbe. La politique à Riva puis en Arendie. L'attachement physique à Vo Wacune, les premiers émois et le déchirement.

 

Les années d'espoir                    Sommaire                    Les années d'enfance

 

3 mai 2015

Princesse Mononoké

Princesse Mononoké     Princesse Mononoké

 

sorti en 1997
Genre : film d'animation
durée : 2h 10 min
Mononoke Hime

Réalisateur & scénario : Hayao Miyazaki
Production : studio Ghibli

 

Synopsis
Blessé par un sanglier rendu fou par les démons dans un Japon médiéval, le jeune guerrier Ashitaka doit quitter les siens et partir à la recherche du dieu-cerf qui, seul, pourra défaire le sortilège. Au cours de son voyage, Ashitaka rencontre Dame Eboshi, une sacrée femme à la tête d'une communauté de forgerons, qui doit se défendre contre ceux qui lui reprochent de détruire la forêt pour alimenter ses forges. Parmi ses pires ennemis se trouve San, une jeune fille sauvage élevée par une déesse louve, aussi appelée « Princesse Mononoké »...

 

Mes impressions
Le premier film de Hayao Miyazaki que j'ai découvert...
Je m'étonne encore qu'il m'ait donné envie d'en voir d'autres tellement il est loin de l'univers poétique et écologique auxquel je m'attendais !

Ce que j'ai aimé ?
La complexité des personnages qui ne sont pas tout noirs malgré les apparences. La beauté des décors, enfin avant qu'ils ne soient touchés par la pourriture des démons. Les sylvains. Finalement la violence et le réalisme en opposition à cette poésie. Les humains qui détruisent tout, la nature comme les dieux... avec pourtant cette fin pleine d'espoir.

 

Sommaire

 

1 mai 2015

Les années d'espoir

Préquelles 2 - Les années d'espoirBelgarath le Sorcier - Les années d'espoir
                                        David et Leigh EDDINGS
     Belgarath the Sorcerer

 

sorti en 1995
457 pages
Genre : fantasy

2ème chant des Préquelles

 

4ème de couverture
Pendant des millénaires, Belgarath et sa fille Polgara courent le monde afin de préparer la venue de l'Enfant de Lumière et réunir les conditions nécessaires à l'avènement des personnages annoncés par les prophéties.
Un prodigieux voyage dans le temps qui s'achève avec la naissance de Garion. Garion, le tueur de Dieu, roi des Rois du Ponant, et qui brandira l'Orbe au moment décisif.

 

Extraits (1ère et dernière phrase du roman)
L'assassinat de Gorek et de sa famille était inévitable et prévu de toute éternité, je le savais, et pourtant je ne pouvais me départir d'un terrible sentiment de culpabilité.

- Oui, ma douce, dit-il.

 

Mes impressions
Techniquement, ce second volume est la suite directe et non coupée du précédent, comme le prouve la dénomination des chapitres.

Ce que j'ai aimé découvrir dans ce volume ?
L'expédition punitive contre la Nyissie. Le désir d'anéantissement du Ponant de Kal Torak et la célèbre bataille de Vo Mimbre. La longue attente de la venue de Garion et les agissements de Chamdar, alias Asharak le Murgo. L'histoire révélée mais incomplète, qui appelle la version de Polgara...

 

Les années noires                    Sommaire                    Le temps des souffrances

 

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1 mai 2015

Petites brioches à la cannelle

Ingrédients
500g de farine
20g de levure de boulanger
60g de sucre en poudre
120g de beurre ramolli
1 œuf
20 cl de lait tiède
1 pincée de sel
1 cuillérée à cafe de cannelle
2 cuillérée à soupe de cassonade

 

Verser 100g de farine dans le lait tiède et ajouter la levure de boulanger.
Mélanger et laisser reposer environ 15 minutes.

Verser le reste de la farine dans un saladier et creuser un puits.
Ajouter le sel, 2 pincées de cannelle, le sucre, l'œuf et le mélange farine-levure.
Bien mélanger.
Incorporer le beure coupé en dés.
Travailler la pâte 5 minutes environ.

Former une boule et la mettre dans un plat creux huilé.
Laisser gonfler dans un endroit chaud pendant environ 30 minutes.

Pétrir de nouveau la pâte et laisser reposer encore 30 minutes.

Préchauffer le four à 180° (thermostat 6).

DIviser la pâte en petites boules de taille égale.
Aplatir légèrement le dessus.
Mettre les brioches sur une plaque de four recouverte de papier sulfurisé.

Dans un bol, mélanger le reste de cannelle et la cassonade.
Saupoudrer le dessus des brioches de ce mélange.
Mettre à cuire 15 minutes.

Laisser refroidir sur une grille.

Brioches à la cannelle

Bon appétit !

 

Mes recettes

 

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