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Chez Sylvania
3 janvier 2014

Espoir

Même si je ne suis qu’une goutte d’eau dans l’océan de pensées qui s’est manifesté depuis dimanche, mon espoir se mêle à celui de toutes les personnes qui pensent, qui prient, qui espèrent...

Dimanche 29 décembre 2013, en fin de matinée, Michael Schumacher a été victime d’un accident de ski. Transféré au CHU de Grenoble, il est depuis – 5 jours après cette nouvelle choquante et irréelle - toujours entre la vie et la mort.
L’annonce de l’information et la gravité de l’état de Schumi m’ont fait l’effet d’un coup de massue.
Si je n’ai jamais cru qu’un pilote de Formule 1, même un septuple champion du monde, pouvait être indestructible, la banalité même de l’accident a quelque chose d’absurde.
Je n’ai pas honte des larmes que j’ai versées, de la nuit d’insomnie qui a suivi, de la futilité de ma réaction en regard de tout ce qui se passe de grave dans le monde. La F1 est ma passion et l’un des moteurs de ma vie depuis une vingtaine d’années, ce qui touche les pilotes me touche moi.
J’ai vécu les débuts de Michael Schumacher, son immense talent, ses premiers titres, son pari Ferrari, son insupportable domination, son sacre d’une année sur l’autre, ses gestes parfois discutables, je l’ai aimé et haï, apprécié de nouveau à son retour tellement plus humain. Mais plus que tout, c’est sa passion que je retiens.
Aujourd’hui c’est son 45ème anniversaire.

*sanglots dans la voix*
Michael Schumacher ne peut pas mourir, hein ? Et surtout pas comme ça, pas déjà...

For Michael
Michael, puisse l’amour de tous ceux qui pensent à toi en ce jour et depuis dimanche
te donner la force de remporter ce combat...

 

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1 janvier 2014

À se taper la tête contre les murs

Ah elle commence bien, cette année 2014 !
Une migraine au réveil, comme si je n’en bavais pas suffisamment… Comme quoi, même quand on croit avoir touché le fond, la vie s’ingénie à nous rappeler que ça peut toujours être pire. Merci la vie, je n’avais pas besoin de ce rappel, je le savais déjà !

Une fois de plus allongée sur le canapé. Volets fermés pour me protéger de l’agression de la lumière du jour. Le seul bruit dans la maison est celui du sang qui bat dans mes veines… c’est assourdissant. Le moindre mouvement me donne la nausée.
J’ai envie de pleurer. J’en ai marre, tellement marre. Je suis fatiguée, je voudrais dormir. Oublier la douleur, celle qui résonne dans ma tête et l’autre, plus insidieuse, insaisissable, qui se glisse dans ma vie.
Fermer les yeux.

 

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